Un été nu chez ma tante
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Hardcore,
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... n’étais pas le seul. En guise d’exécution capitale, j’ai dû me courber en deux sur le pilori, les jambes écartées, flagellé avec des orties, puis sodomisé au gode-ceinture par la totalité des femmes présentes – et même par les garçons vainqueurs qui ont répandu leur foutre dans mon petit trou, ce qui était une épreuve supplémentaire à ma stricte hétérosexualité. Mes testicules étaient considérés comme des punching-balls de boxe française, les orteils repliés en boule. Quand elles m’ont empalé sur un immense godemiché de métal, si long qu’il procurait une bosse à mon ventre une fois qu’elles l’avaient complètement enfoncé dans mon anus, malgré ma résolution de rester imperturbable dans l’épreuve, je n’ai pas pu m’empêcher de hurler – heureusement que je m’étais purgé au matin. À la fin, j’avais la rosette comme un chou-fleur. Une fois détaché du pilori, je me suis mis à genoux et j’ai supplié pour que l’on mît fin à mes tourments.
J’avais enfin accepté l’avilissement total que ma tante voulait m’imposer afin de briser en moi toute résistance.
Mais comme j’avais été jugé comme un garçon bien soumis et courageux devant l’épreuve, obéissant à tous les ordres et d’une parfaite allégeance à Tante Marie ainsi qu’à ses deux filles, j’ai eu ma récompense : pénétrer dans un vagin, enfin ! Pour cela, elles m’ont ligoté sur une table per poignets et chevilles, dans le jardin. Mes bras et mes jambes formaient un X, la face tournée vers le soleil. Je bandais parfaitement et ...
... dégoulinais de rosée du désir. Tante Marie la première s’est mise nue et s’est assise sur mon sexe, tortillant du bassin. Pendant ce temps, Daphné et Jeanne me chatouillaient les pieds. Je riais convulsivement. Cela ne m’a pas empêché d’éjaculer, pour la première fois, dans la gaine d’une femme. Plus les jumelles m’ont chevauché tour à tour, puis Sandrine et d’autres femmes que je ne connaissais pas, mais qui avaient des vagins merveilleusement étroits à l’intérieur desquels je répandais ma semence sans compter, tant et si bien qu’à la fin, mes testicules et ma prostate me faisaient mal. C’était pour moi une joie immense.
Épilogue
Quand ma mère est revenue à la fin du mois d’août, j’étais un garçon dressé, prêt à obéir à tous les ordres d’une épouse qu’elle avait choisi pour moi, et qui avait trente de plus. Le mariage a été célébré en septembre. Le bac ne m’aurait, de toute manière, été d’aucune utilité pour les tâches ménagères que ma femme m’imposait. J’étais son esclave. Privé à demeure de vêtements, j’accomplissais toutes les tâches ménagères, par exemple à quatre pattes pour nettoyer le sol carreau après carreau, avec une brosse à dents usée. Obèse autant que j’étais fluet, elle avait de gros besoins sexuels que je satisfaisais de mon mieux : elle me saisissait lorsqu’il lui en prenait la fantaisie, en tirant sur la chaîne qui me reliait à mon collier d’esclave. Lorsqu’elle jugeait que je n’avais pas été à la hauteur de ses désirs, elle m’attachait sur une table, bras et ...