Un été nu chez ma tante
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Hardcore,
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... étaient tolérés, voire encouragés, à la seule condition qu’ils fussent consensuels. La plupart des femmes étaient dominatrices et vêtues de maillots de bain tandis que les hommes étaient nus. Des cougars y venaient discipliner leurs soumis et les mères perverses dresser leurs garçons en plein soleil, avant de les subjuguer par des relations sexuelles taboues sous le regard de tous. Beaucoup avaient le dos strié par la flagellation ; je savais que je n’allais pas tarder à leur ressembler. Ceux qui avaient de petits pénis étaient impitoyablement moqués. Montrés du doigt, ils pleuraient à chaudes larmes sous les rires de la gent féminine. Les tailles en centimètres étaient soit écrites au feutre rouge sur les torses épilés, soit indiquées sur les pancartes accrochées autour du cou. Comme il fallait absolument trouver un motif de brimade et que la taille de mon sexe était des plus honorables, mes piètres résultats scolaires ont servi de prétexte aux sévices que je subissais.
Au cours d’un après-midi où le soleil tapait particulièrement fort, j’ai participé à une crucifixion collective sur la plage, en compagnie d’une dizaine de garçons de mon âge. Il nous fallait porter nos lourdes croix en marchant dans le sable où des trous avaient été creusés exprès pour nous faire trébucher. Pas de pagne naturellement, mais des anneaux péniens pour mettre en valeurs nos organes génitaux. Ceux d’entre nous qui tombaient sous le fardeau étaient fouettés jusqu’à ce qu’ils se relèvent ...
... péniblement, de même que ceux qui ne marchaient pas assez vite. Puis nos croix ont été alignées au bord de la mer, posées à plat, et nous y avons été attachés par les poignets et les chevilles. Un
sédile
, petit tenon fixé sur le mat, nous entrait dans l’anus afin de nous maintenir d’une manière plus stable, et aussi de s’assurer de la solidité de nos érections, grâce à la pression continue sur la prostate.
Toutes les croix ont été élevées en même temps, plantées verticalement dans le sable. Daphné, comme bien d’autres, filmait la scène avec son téléphone. Vu d’en bas, ce devait être un spectacle magnifique. Nous étions dix éphèbes bandants, verges dressées vers le soleil. Nous avions chaud, nous transpirions beaucoup et la crucifixion était une posture pénible. J’avais dit, au moment d’être fixé sur le bois du supplice, que j’aurais préféré de vrais clous, comme font les Philippins lors du Vendredi Saint, mais on m’a répondu que c’était trop dangereux et que de toute manière, suspendu ainsi, j’aurais largement mon lot de souffrances, ce qui était vrai. Mon
titulus
, c’est-à-dire l’écriteau fixé au sommet de la croix indiquant le motif de ma condamnation, était :
4/20 au bac
, comme d’autres avaient :
petite bite, échec au permis
, etc. Nos tortionnaires trouvaient toujours un crime justifiant le châtiment. Celui-ci était terriblement érotique. J’en bande encore. Ma couronne d’épines était une culotte sale qui sentait très bon la chatte en sueur. À cause ...