1. Un été nu chez ma tante


    Datte: 30/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Hardcore, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... dents, sans toucher à mon sexe. Voilà. Maintenant, ouvre ta bouche et suce.
    
    Elle a placé le tampon sur ma langue. J’ai aimé le goût ferreux et puissant du suc qui en suintait. C’est le nectar secret de la féminité que j’ai aspiré jusqu’à l’ultime goutte : un délice étrange, qui peut sembler répugnant pour qui ne tient pas chaque femme en vénération comme moi.
    
    Puis j’ai été autorisé à porter ma langue jusqu’au sexe adulé de ma tante. Tante Marie m’agrippait par les cheveux afin de me guider, et les larges cuisses se sont refermées autour de ma tête, broyant douloureusement les os de ma mâchoire. J’ai découvert le clitoris en vrai, appris à le choyer, à la balayer, à en faire mon alpha et mon oméga. Quand elle a joui, elle a serré de toutes ses forces. J’ai aimé cette douleur. Pendant ce temps, derrière moi, les quatre filles se relayaient pour s’introduire dans mon trou de balle avec des verges artificielles et pilonner à grands coups de reins. Même Sandrine s’y est mise. Quand elles ne me ramonaient pas, les deux jumelles s’aimaient saphiquement, enlacées dans l’herbe, ce que je pouvais entendre, mais pas voir.
    
    Tante Marie ne s’est pas contentée d’un seul orgasme, loin de là. Puis, les filles ont voulu que je leur broute également le minou. Chacune avait un goût différent, et une odeur que je n’oublierai jamais. L’action s’est poursuivie jusqu’au soir. J’étais épuisé. Tante Marie m’a conduit jusqu’à ma niche, située dans le jardin, où je devais dormir enchaîné par ...
    ... des fers qui entravaient mes poignets, mes chevilles et mon cou. Je me suis endormi profondément, mais en pleine nuit, les jumelles sont venues me réveiller afin de m’enculer avec leurs godes-ceinture, parce que cela me faisait mal et qu’elles adoraient me faire souffrir. Pendant deux mois, elles allaient procéder ainsi quotidiennement.
    
    Progressivement, j’ai appris à aimer la douleur physique qu’elles me procuraient en défonçant ma petite rosette sans lubrification, et à les supplier à genoux, non pas de cesser, mais de poursuivre. Puis, sous la lune, elles m’obligeaient à me masturber devant elles, et à éjaculer sur leurs pieds que je devais lécher afin de boire mon propre sperme, enfonçant parfois leurs orteils jusqu’au fond de ma gorge, ce qui me procurait des nausées.
    
    Durant la journée, nous allions souvent à la plage qui était tout près de la demeure de ma tante. J’y allais enchaîné par le cou, ou bien serré dans un lourd carcan de bois qui emprisonnait mes poignets de part et d’autre de ma tête, sans autre costume de celui d’Adam dans les rues de la station balnéaire. Des passantes nous regardaient, plus amusées que choquées, car l’endroit, interdit aux enfants, se prêtait à toutes les fantaisies sexuelles. Une pancarte accrochée à mon cou rappelait en gros caractères rouges les notes lamentables au baccalauréat qui me valaient d’être puni.
    
    C’était une plage libertine où la nudité était permise, quoique facultative, et où tous les ébats charnels des vacanciers ...
«1...345...9»