L'original ou le clone ?
Datte: 12/01/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
ecriv_g,
Auteur: Busybee, Source: Revebebe
... vexée. Elle lui en avait parlé le lendemain, il avait paru étonné et promis de faire plus attention.
Début novembre Pat et moi retrouvions pour une petite semaine la famille à Bourg, Sarah était notre invitée (rentrer à Bordeaux était incompatible avec ses finances) et Jacques gardait l’appartement de la rue Mérian en déclinant notre offre, préférant rester sur Lyon pour un festival rock.
A notre retour, Jacques nous sembla plus jovial que d’habitude. Sans doute une semaine de repos lui avait-elle bien profité. À la fac il travaillait avec plus d’ardeur, et m’entraînait dans son enthousiasme. Nous nous rapprochions, devenions plus intimes, plus tendres. Mais il gardait une distance qui m’empêchait de franchir cette barrière affective dont il semblait bardé. Il continuait à sortir parfois le soir sans nous en donner la raison.
Un soir qu’il était rentré plus tôt que d’habitude et que j’étais restée à lire dans ma chambre il vint me proposer un thé que je partageais avec lui sur mon grand tapis. Je m’enhardis, me glissai contre lui pour qu’il me prenne dans ses bras et sentis comme une réticence.
— Tu n’es pas libre ?
Il me répondit que si, que j’allais un tout petit peu vite, qu’il avait besoin d’un peu de patience. Je lui dis que j’en aurais. Je l’embrassai et il me prit tendrement dans ses bras avant d’aller se coucher.
Par la suite je ne perdis pas une occasion de lui prouver mon attachement, tout en essayant de ne pas être trop «collante».
Je parvins à ...
... mes fins un soir qu’il n’était pas de sortie. Sarah et Pat étaient allées à une conférence. J’avais préparé un petit dîner sympa, légèrement arrosé. Je l’enlaçai par derrière sur sa chaise, l’embrassai à pleine bouche, puis vins m’asseoir à califourchon sur ses jambes. Je le déshabillai du haut, défis mon chemisier. Après de longs moments de caresses je l’entraînai dans ma chambre, l’allongeai sur mon lit, me déshabillai complètement, retirai doucement son pantalon. Sa queue faisait une bosse, il se laissait faire en me regardant sans rien dire.
— Je vais te montrer comme je t’aime, lui dis-je.
Je sortis son sexe du slip tendu à craquer. Il était mignon, raide et dressé au-dessus d’une petite touffe blonde avec deux boules inégales. Accroupie à ses côtés je le caressai longtemps, revenant périodiquement sur son sexe que je n’oubliais pas. Ses mains, plus timides que les miennes, parcouraient lentement mon corps, me procurant d’agréables frissons. Je pris aussi son sexe dans ma bouche. Son goût était légèrement salé, la peau d’une bonne douceur. Il me fit venir sur lui, posa ma chatte sur ses lèvres et me caressa de sa langue jusqu’au plaisir. Sa langue insista, presque immobile, tandis que je me tordais, ivre de sa douceur. Je m’écroulai sur le côté. Il se plaça derrière moi en petite cuiller, prit un préservatif sur la table, l’enfila et glissa sa queue entre mes cuisses en saisissant mes hanches, me pénétra sans peine tant j’étais mouillée d’excitation et de plaisir. ...