L'original ou le clone ?
Datte: 12/01/2021,
Catégories:
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Auteur: Busybee, Source: Revebebe
... encore une fois. Jacques nous rejoindrait pour la deuxième quinzaine de juillet. Pat s’était trouvé un très bel archéologue anglais pour le mois et Vincent commençait à s’occuper des filles. J’étais trop occupée début juillet pour batifoler, j’attendais trop mon cher Jacques. Je lui fis la fête à son arrivée, nous occupions le bungalow des gardiens du chantier et toutes les nuits étaient pour nous. Il repartit en fin de mois, embauché pour un travail à Besançon et me promit d’essayer de revenir pour le week-end du quinze août.
Il me rappela un peu avant, il était libre le week-end du quinze août. J’étais ravie de l’aubaine. Il me rejoignit le samedi soir, très tard, pendant une de ces fêtes que nous avons l’habitude d’organiser pour la détente de tous les stagiaires en fin de semaine. Barbeuk, musique, bal sur un grand pré proche du chantier. J’avais déjà un peu bu, notre fête était bien arrosée. Pat venait de quitter son dernier archéologue qui avait pris le train dans l’après-midi, elle était ravie de retrouver Jacques et lui faisait du rentre-dedans. Il se laissait faire et j’étais trop gaie pour en prendre ombrage. La soirée a fini à trois dans le bungalow, Pat prenait l’initiative et nous l’avons suivie. Je regardais Jacques et Pat qui faisaient l’amour sur ma couche en riant comme des fous. Je les caressais, j’étais émue par ma sœur qui se donnait tant à mon amant. Il la prenait en me regardant droit dans les yeux, comme cherchant mon approbation. Je l’encourageai du ...
... regard et des caresses. Patricia jouit bruyamment puis s’endormit. Jacques s’approcha de moi et nos propres caresses nous emportèrent. Mon plaisir de fille à moitié saoule était particulier, presque exotique. J’appréciai plus que je ne jouissais, mais rien de fort ne venait. Je me dégageai pour changer de position, pris le sexe dur de Jacques dans ma bouche et posai le mien sur ses lèvres. Il était circoncis. Ce n’était pas Jacques, le frère, le clone nous avait trompées. Une pensée traversa mon esprit sans que j’arrête mes caresses. Que faire ? Rester dans la tromperie ? Non ce n’était pas tant une tromperie qu’une duperie que j’avais déjà acceptée et que Pat avait déjà vécue. Je résolus de boire le calice… et je suçai le clone de plus belle façon possible, j’y mis tout mon savoir-faire, pompant sa hampe, son gland, ses couilles jusqu’à le faire gémir. L’inondai de mes liquides que je sentais couler avec abondance. Pensais à ma sœur endormie à nos côtés. Le reste fut un feu d’artifice. Il inonda ma gorge de sa semence puis je vins aussi quand il reprit ses esprits et glissa sa langue dans ma chatte qui explosa. Le reste de la nuit s’est perdu dans les brumes. Le lendemain nous eûmes du mal à récupérer, Jacques avait disparu quand Pat et moi nous réveillâmes avec un sévère mal de tête.
— Tu m’en veux ? me demanda-t-elle ?
— Comment puis-je t’en vouloir ?
Le faux Jacques avait rejoint l’équipe de nettoyage de la fête. Le chantier s’arrêtait jusqu’au mardi matin, ce qui ...