La petite robe dans la vitrine
Datte: 31/12/2020,
Catégories:
fhh,
hagé,
inconnu,
essayage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
couple+h,
Auteur: Pazapa, Source: Revebebe
... l’orgasme.
— Je ne saisis pas très bien,
— Elisa, veux-tu expliquer à Alan ce que nous attendons de lui, pour moi c’est un peu difficile.
Elle se tourne vers moi et, semblant oublier son ventre nu et mon regard planté entre ses cuisses, elle me donne tous les détails. Je n’aurais jamais pensé qu’une femme puisse, à froid, dans une conversation de salon, employer un vocabulaire aussi cru pour décrire des situations aussi scabreuses. Je suis comme un acteur à qui le metteur en scène dévoile le scénario du film pour lequel il est engagé.
— Le but, dit Elisa, est pour moi de me faire baiser vigoureusement par un mâle sympathique, gentleman, au regard doux mais avec un corps viril et bien proportionné. Je veux par contre que mon mari ait aussi sa part de plaisir. Donc, après des préliminaires que je laisse au libre choix de votre imagination et à celle de Jules, voilà comment j’aimerais que nous jouissions :
Jules viendra s’asseoir à notre place sur le canapé. Je me placerai en levrette entre ses jambes et je le sucerai pendant que mon joli cul sera à vous. Vous pourrez en faire ce que vous voudrez, tant que vous ne gênerez pas ma façon de faire l’amour à mon mari.
— Je vous précise, reprend celui-ci, qu’Elisa n’aime pas trop la sodomie. Je sais que la position sera tentante, mais à la limite vous pourrez glisser un doigt bien mouillé dans son petit trou, en principe elle aime bien.
— Vous savez, Alan, que vous pouvez refuser si la situation vous gêne, nous ...
... resterons bons amis. Enlevez le reste de mes vêtements si votre réponse est « oui ».
Je m’approche d’Elisa, queue bandée, la main tremblante, les yeux suivant les courbes de sa peau dorée. Elle est nue, offerte. Je peux enfin caresser son corps en donnant ma réponse. Elle réagit en plaquant sa main sur la bosse de mon pantalon et, palpant mon sexe raidi, elle lance à son mari :
— Mon chéri, je crois que la queue d’Alan est d’une taille tout à fait convenable, j’ai hâte de la sentir palpiter en moi.
— Enlève-lui ses vêtements, que j’admire ton amant.
Elisa tend la main et défait un à un les boutons de ma chemise. Elle effleure de sa main aux ongles longs la peau de ma poitrine, laissant au passage une légère traînée rouge.
Aïe ! Aïe ! Aïe ! Elle me pince durement les tétons, j’adore, la caresse est presque douloureuse. Je soupçonne la belle d’aimer s’adonner à cette délicieuse perversion. Je jette un coup d’œil du côté du mari installé dans le canapé que nous venons de quitter. Il nous observe, le visage serein.
Elisa déboucle ma ceinture et glisse la main entre le slip et la peau de mon ventre. Elle empoigne mon sexe bandé et le redresse à la verticale, faisant dépasser mon gland du bord du pantalon. Elle ouvre ma braguette, fait glisser mon jean et mon slip le long de mes jambes. Je me débarrasse rapidement du tas de vêtements qui s’enchevêtrent autour de mes chevilles.
— Regarde ce pieu orgueilleux, Jules, il est à la fois dur et tendre, raide et velouté, il est ...