La petite robe dans la vitrine
Datte: 31/12/2020,
Catégories:
fhh,
hagé,
inconnu,
essayage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
couple+h,
Auteur: Pazapa, Source: Revebebe
Plus qu’un quart d’heure avant la fermeture. Après de longues heures passées dans ma boutique de prêt-à-porter féminin, l’approche de la fermeture apparaît toujours comme une bouffée d’air pur. La journée ayant été assez morne, je n’ai qu’une hâte, c’est de boucler le tout et d’aller me prendre une bière fraîche à la terrasse d’à côté. Moins dix, une emmerdeuse ouvre la porte et, s’adressant à moi la bouche en cœur :
— Je voudrais la robe corail qui habille le mannequin.
— La robe qui est dans la vitrine ?
— Oui, si cela ne vous dérange pas.
— Non, bien sûr, dis-je en ravalant mon irritation, la taille deux devrait vous aller.
— J’ai bien peur qu’elle ne soit un peu grande de poitrine.
— Ce n’est pas grave, on reprendra un peu les pinces, le mieux est de l’essayer.
Elle s’éclipse dans la cabine. Elle a un petit quelque chose qui me plaît. Pas vraiment belle mais un œil brillant de malice et des pommettes parsemées de taches de rousseur qui m’ont séduit au premier abord. Une poitrine à peine plus formée que celle d’une adolescente. Une quarantaine bien établie et un corps que je devine appétissant sous son tee-shirt et son jean moulant. Elle sort de la cabine et d’un sourire éclatant me montre le décolleté bâillant. Cette robe à fines bretelles se conçoit sans soutien-gorge, et pour l’essayage elle a retiré le sien.
— C’est là que ça ne va pas, quand je me baisse, on voit tout…
Et, joignant le mouvement à ses paroles, elle se baisse devant moi, me ...
... donnant ainsi une vue plongeante sur sa poitrine, que je devine plus que je ne la vois.
— Oui je sais, dit-elle vous allez me dire qu’il n’y a rien à voir…
— Je ne me permettrais pas une remarque aussi désobligeante et, pour tout vous dire, j’adore les poitrines menues.
— Vous dites ça pour me faire plaisir…
— Non, plutôt pour me faire plaisir, mais si vous vous le voulez bien je vais mettre des épingles pour adapter la robe à votre jolie petite poitrine.
— C’est vrai, ça vaut le coup d’essayer car la robe me plaît beaucoup.
Je pique quelques épingles sur ma liquette (j’ai horreur de ce bracelet que les retoucheuses mettent à leur poignet pour garder les épingles à portée de leur main). Je suis très près d’elle devant le miroir, son parfum délicat chatouille agréablement mes narines. Je bénis dame nature qui m’a fait culminer à 1,86 mètres au-dessus du niveau du plancher. La petite dame, elle, doit faire facilement 20 centimètres de moins, et je laisse ma libido caresser du regard le mignon petit téton qui s’exhibe par intermittence dans la béance du décolleté trop généreux. Elle surprend mon regard dans l’axe du miroir. Par réflexe, je détourne les yeux, un peu gêné par l’intrusion impudique de mon regard. Au lieu de s’en offusquer, elle le prend sur le ton de la plaisanterie en disant :
— Vous avez vu, ils sont vraiment petits, n’est ce pas ?
Adoptant le même ton, je réplique :
— À vrai dire, je n’ai pas vu grand-chose et j’en suis déçu.
— Vous êtes bien ...