1. La petite robe dans la vitrine


    Datte: 31/12/2020, Catégories: fhh, hagé, inconnu, essayage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, couple+h, Auteur: Pazapa, Source: Revebebe

    ... bout de chair qui bourre ce cul magnifique. Je la baise par les deux trous. Elisa lance des vocalises qu’accompagne Jules par ses hoquets incontrôlés.
    
    Si la jouissance la chavire, Mme Iomescus n’en oublie pas moins son rôle principal et branle furieusement son mari qui vole à dix mille mètres au-dessus du plancher des vaches. Soudain, un cri :
    
    — B… de N… de… D… D… C’est pas vrai, je bande !
    
    En effet, c’est incroyable mais Jules bande. Une belle érection même.
    
    — Mon chéri, mon amour, sanglote soudain, Elisa, tu es guéri ! C’est merveilleux, comme je te retrouve !
    
    Elle en oublie ma présence, se dégage prestement de mon appendice viril, de mon doigt fureteur, et plonge dans les bras de son Jules de mari.
    
    — Fais-moi l’amour, mon bel amant, prends-moi tout de suite.
    
    Mme Iomescus se renverse sur le dos à même le tapis en relevant ses cuisses ouvertes. Je me fais discret et m’éloigne légèrement. Jules, fier comme « Bar Tabac », la queue impressionnante, se couche tendrement sur elle et, la couvrant de baisers, pleure, la tête enfouie dans sa chevelure.
    
    Je m’éloigne vers le fond du salon en prenant mon verre de Perrier.
    
    Leur étreinte est lente et je suis, je crois, aussi ému qu’eux.
    
    Dans toute autre circonstance, j’aurais trouvé la situation ridicule. Regarder avec complaisance le lent mouvement des fesses de Jules, et Elisa, cuisses ouvertes relevées très haut, jambes croisées sur les fesses de ...
    ... son amant. Je ne bande plus, j’attends.
    
    À une crispation des fesses de Jules et à une soudaine immobilité de leur corps enchevêtrés, je devine qu’ils jouissent comme jamais je n’avais imaginé un orgasme. Les deux amants entrant l’un dans l’autre au point d’arrêter le temps, d’arrêter l’espace, laissent leurs corps se fondre en reniant leurs individualités.
    
    Je me rhabille en silence et, alors que je m’esquive vers la porte :
    
    — Restez un moment, Alan, nous avons, je l’espère, quelques paroles à échanger, non ?
    — Je ne veux surtout pas atténuer l’effet de ce miracle.
    — Vous en êtes sûrement le catalyseur. Des années de ce que l’on appelle l’impuissance c’est insupportable, plus pour l’homme que pour sa compagne.
    — J’imagine…
    — Personne ne peut imaginer, ni juger nos dérisoires moyens d’y faire face.
    — Que faisons nous maintenant ? dis-je.
    — Une bouteille de champagne s’impose, dit Jules en sortant de sa réserve.
    
    Moi, habillé, Jules, l’hémisphère austral à l’air, Elisa, belle, nue, rayonnante, quelle scène étonnante ! Elisa aperçoit soudain la robe qu’elle devait essayer. Et, sans se soucier de ses sous-vêtements, elle me la tend.
    
    — Alan, vous pouvez quand même me faire essayer ma robe, vous le méritez bien.
    
    Et, alors que je remonte le zip dans le dos d’Elisa, celle-ci se retourne et, s’adressant à son mari :
    
    — Tu ne m’avais pas dit, Jules chéri que, étant petit, tu avais été enfant de chœur ? 
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