1. La petite robe dans la vitrine


    Datte: 31/12/2020, Catégories: fhh, hagé, inconnu, essayage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, couple+h, Auteur: Pazapa, Source: Revebebe

    ... Tenez, voilà une pièce, pile c’est le haut, face c’est le bas.
    — Face, dis-je en ramassant la pièce. Je peux ?
    — Faites, faites, mon ami.
    
    Je fais glisser le pantalon de jogging, la belle n’a pour tout sous-vêtement qu’un léger parfum enivrant. Elle place ses mains devant elle pour cacher son sexe lisse.
    
    — Elle est belle, n’est ce pas ? dit le mari.
    — Très belle, oui, très belle.
    — Tourne-toi, demande-t-il à sa femme.
    
    Mme Iomescus se tourne lentement, exhibant son charmant derrière à mes yeux ébahis.
    
    — Qu’en pensez-vous, cher Alan ?
    — Généralement, quand une femme est à moitié dévêtue, elle laisse voir ses seins et cache sa chatte et ses fesses. L’inverse est d’autant plus délicieux que le haut du corps couvert fait surgir les fesses de Mme Iomescus d’une impudeur ostentatoire.
    — J’apprécie la finesse de votre jugement que je partage. Continuez, je vous prie…
    — Je resterais des heures à contempler un aussi joli cul… Vous permettez, Madame, que je me laisse aller à cet écart de langage. Je trouve que le mot « fesse » n’est intéressant que par les rimes qu’il suggère aux poètes et la mollesse du son qui sied tant à votre séant, alors que le mot « cul » a cette petite note friponne qui agite les sens. Le mot est plus direct, franc et sans appel. Le mot " cul " détermine que cette partie charnue de votre corps magnifique éveille en moi le frisson et le désir que je ne saurais dissimuler.
    — N’en faites pas trop, Alan, vous devenez pédant.
    — Excusez-moi, la ...
    ... situation me trouble, votre femme est si désirable. Vous devez être un homme heureux et comblé, Monsieur Iomescus.
    — Mon prénom est Jules et celui de ma femme Elisa. Heureux ? Oui je le suis. Comblé ? Non. Je vais vous raconter le pourquoi de votre présence ici. Vous comprendrez mieux la situation. Asseyez-vous, Alan, et toi aussi, ma chérie.
    
    Je m’installe dans le canapé face à Jules ; Elisa se retourne enfin et vient me rejoindre. L’endroit est aussi émoustillant que l’envers. Son ventre est bronzé, aucune marque de maillot, même sur son abricot tout lisse. Elle se tient de l’autre côté du canapé, laissant entre nous une marge de sécurité.
    
    — Elisa et moi, reprend Jules, sommes vraiment amoureux. Nous formions un couple idéal sur tous les plans, psychique, émotionnel et physique. Il y a deux ans, mes érections ont commencé à faiblir au point de ne plus pouvoir assurer cette vigueur charnelle que toute femme est en droit d’attendre. Bien sûr, il y a d’autres manières de satisfaire une femme. Elisa sera la première à vous dire que les caresses de mes doigts et de ma langue l’amènent chaque fois dans les étoiles, n’est-ce pas, mon amour ?
    
    Je commence à deviner où il veut en venir.
    
    — Si je comprends bien, dis-je, il serait agréable à vous Elisa, et à vous aussi Jules, que je remplace cette virilité défaillante.
    — En raccourci, c’est un peu ça, dit Mme Iomescus.
    — Par contre, dit Jules, je tiens à vous préciser que nous aimons conserver notre complicité au moment de ...
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