1. La petite robe dans la vitrine


    Datte: 31/12/2020, Catégories: fhh, hagé, inconnu, essayage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, couple+h, Auteur: Pazapa, Source: Revebebe

    ... presque aussi gros et long que l’était le tien. J’ai envie de le sucer juste pour un instant, je peux, mon chéri ?
    — Tout ce qui peut t’exciter me comble, mon amour. Prends la queue d’Alan, suce-la, branle-la et reviens vite vers moi.
    
    Elisa se baisse pour satisfaire son appétit, m’offrant la vue de sa chute de reins, harmonieuse comme un violoncelle. Si l’instrument a une fente de chaque côté, la fente centrale, épanouie et unique de ma belle branleuse me fait espérer les frissons les plus rares. Elle a englouti mon gland et roule sa langue tout autour, l’enfouit au creux du frein. Elle m’aspire, me roule entre sa langue et son palais, se retirant pour mordiller ma peau sensible. Je suis au paradis, je plonge mes doigts ouverts dans ses cheveux, massant son crâne et accompagnant les ondulations de sa nuque.
    
    — Je crois que tu peux laisser notre ami pour le moment, dit Jules, mon excitation est à point et la sienne va trop loin.
    
    Elle lâche mon sexe et s’agenouille entre ses jambes ouvertes.
    
    — Je vois à la rougeur de votre visage, Alan, que vous avez apprécié la petite gâterie.
    — Un goût de trop peu quand même, jamais encore une femme ne m’a sucé si bien en si peu de temps, j’ai dû faire un effort surhumain pour ne pas me laisser aller dans sa bouche.
    — Pour vous remettre de vos émotions, mon cher, servez donc un petit rafraîchissement pendant que ma petite Elisa me met en route.
    
    Sur une table à roulette il y a trois verres et une bouteille d’eau pétillante. ...
    ... Tout en remplissant les verres, j’observe mes hôtes. Mme Iomescus a sorti le sexe de M. Iomescus qui, bien que mou, est d’une taille très avantageuse.
    
    — Voyez, dit Jules, les soupçons de raideur que je peux ressentir ne sont même pas visibles à l’œil nu. Par contre, je peux vous assurer que, par quelques manipulations savantes sur ma chair et sur mon esprit, j’atteins les plus hauts sommets du plaisir.
    — Sans vouloir m’immiscer dans votre intimité, dis-je l’air flatteur, la bouche d’Elisa est capable de réveiller un mort… Oh pardon ! Mes mots ont dépassé ma pensée. Je suis désolé.
    — Ce n’est rien, il y a dans le choc de votre métaphore un fond de vérité et j’aime votre sincérité.
    — Elisa, dis-je en lui présentant son verre, voulez-vous que je vous donne un coussin pour mettre sous vos genoux ?
    — J’allais vous le demander, ce sera plus confortable. Prenez-en deux, je serai ainsi juste à votre hauteur. Prenez aussi sur le guéridon la boîte de préservatifs… Merci… Non laissez, Alan, je vais vous coiffer moi-même. C’est un geste qui m’excite et que j’ai rarement l’occasion de pratiquer.
    
    Quelle vision érotique de la voir pincer le sachet et en sortir le bout de caoutchouc roulé. Elle empoigne ma queue et la branle de quelques coups secs.
    
    — C’est simplement pour vous empêcher de débander, mon cher Alan, et un peu par plaisir aussi.
    — Tout le plaisir est pour moi, confier mon érection à votre main agile est une sensation divine.
    
    C’eût été trop facile et bien trop ...
«12...678...»