1. Mon Ange a un sexe...


    Datte: 29/12/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, couleurs, profélève, bain, douche, cérébral, 69, confession, inithf, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... Son appétit fait plaisir à voir ; la pizza est géante mais il en mange les trois quarts, puis attaque son gâteau comme s’il était à jeun. Il est rayonnant d’être devenu un homme !
    
    Lorsque sa faim se calme et qu’il ne reste qu’un petit quart de la savoureuse pâtisserie, je me lève, dessers, prépare le café. Je le sens s’approcher. Deux mains viennent se poser sur mes hanches, des dents acérées me mordillent la nuque – décidément, il adore mordiller – et un bâton très ferme me fouette les fesses. Il me penche en avant sur le plan de travail et glisse sans difficulté son gros machin en moi. Je ne contrôle plus rien : ses coups de boutoir me projettent en avant sur le plan de travail, il me fend, me pistonne, véritable étalon. Le plaisir monte dans le creux de mes reins, une vague me soulève, je crie, je tremble, je gronde, j’explose. Surpris, Valentin s’arrête et me susurre :
    
    — Élodie, ça va ? Je t’ai fait mal ?
    — Oh, non, non… Tu m’as fait beaucoup de bien !
    
    Il reprend alors son pilonnage ; je ruisselle de plaisir. Il vient à son tour et me remplit de sa semence. Nous restons tous les deux encastrés et prostrés pendant un long moment, puis il se retire de moi ; j’ai peine à tenir debout. Je verse le café et le rejoins à table. Il me prend dans ses bras, me fait m’asseoir sur ses genoux. Nous buvons notre café ; il s’étonne de toutes nos humeurs qui dégoulinent de moi tout au long de sa cuisse. Sa semence est épaisse et crémeuse. Il m’avoue :
    
    — J’ai eu peur : j’ai ...
    ... cru que tu te sentais mal, que tu allais t’évanouir !
    — Mais non, mon beau. C’est ainsi, une femme, quand tu lui donnes du plaisir…
    
    Nous rejoignons la douche. Malgré l’étroitesse du lieu, chacun nettoie consciencieusement l’autre ; j’ai droit à un traitement presque gynécologique. Il me sèche vigoureusement ; je le prends par la main, le conduis dans ma chambre. Il me bascule sur le lit, se frotte contre mon corps ; nos mains se font très tendres. Très vite, mon jeune amant reprend de la vigueur. Je l’explore de mes doigts ; son sexe est fin, long et doux, ses bourses lourdes et pleines de vie. Je me retourne tête-bêche et le prends dans ma bouche. Il gémit et se cabre. Je lui suggère de me rendre la pareille, mais surtout sans me mordre car, là où il va, je suis encore plus fragile. Nous nous dégustons l’un l’autre, sa langue est merveilleuse. Je le sens se crisper, tenter de m’échapper. Je le maintiens en moi ; il se tend, se durcit, et éjacule dans ma bouche. Je le bois autant que je peux puis, quand il se rétracte, je le lèche, le nettoie, lui finis sa toilette. Il m’attire dans ses bras, je me pelotonne contre son torse.
    
    Je m’assoupis ; c’est si bon, les bras d’un homme…
    
    —ooOoo—
    
    Lorsque je me réveille, je vois son visage penché sur moi ; il me sourit :
    
    — Tu es encore plus belle quand tu dors !
    
    Je réponds, comblée, à son sourire. Du doigt, je suis la longue estafilade qui court sur son sternum. Je me dis que peut-être, en satisfaisant ainsi ses fantasmes ...