1. Mon Ange a un sexe...


    Datte: 29/12/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, couleurs, profélève, bain, douche, cérébral, 69, confession, inithf, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... ainsi, nue dans les bras d’un homme habillé, m’emplit de sensations divines ! Le contact un peu rêche du tissu sur ma peau me procure de langoureux frissons.
    
    J’ouvre et enlève sa chemise ; il me caresse les seins, s’amusant de voir mes mamelons durcir et pointer. Je déboucle sa ceinture, frôle sa virilité orgueilleusement bandée. Je fais glisser son pantalon sur ses cuisses, son boxer le suit. Nous sommes nus tous les deux. Son membre bat contre mon flanc ; je le saisis délicatement, me courbe pour y déposer un humide baiser qui le fait se cabrer et le pose lascivement à l’entrée de ma grotte en lui répétantdoucement, doucement.
    
    Il se glisse aisément en moi, je suis très accueillante ; je le sens m’investir. Monsieur est bien membré, j’ai cette forte sensation d’être intimement remplie. Lorsque ses bourses viennent buter contre moi, je lui demande de ne plus bouger. Je sens les battements de son cœur dans sa virilité, j’ai l’impression qu’elle gonfle encore dans son étui de chair. Je devine que, dès que je le demanderai, il entamera enfin une mâle cavalcade. Ce moment est divin, je l’aimerais éternel. J’essaie de l’enserrer plus fort en contractant mes muscles vaginaux, mais c’en est trop pour mon fougueux amant, jusque-là immobile, qui se lance brutalement dans des allées et venues de piston déchaîné. Je sens peu à peu le plaisir monter en moi. Hélas ! Il ne m’attend pas et explose bruyamment en moi, en longues giclées de semence qui lui arrachent des cris. Je feins un ...
    ... timide orgasme et me félicite d’avoir, par chance, repris mon programme anticonceptionnel en prévision du retour de Steph.
    
    Il retrouve le calme ; nous restons encastrés, nous caressant l’un l’autre avec une grande tendresse. Je veux absolument lui cacher qu’il m’a un peu laissée au bord de la route… D’une petite tape sur la fesse, je le fais enfin se lever ; je suis poisseuse de lui et dois me laver. Il me suit sans vergogne, s’adosse à la porte de ma salle de bain et me regarde, amusé, me livrer aux ablutions nécessaires pour me débarrasser de ses derniers outrages. Une fois que j’ai fini, je le prends par la queue et le soumets à son tour au jet réparateur d’une douche concentrée sur là où il apéché. Mon traitement se révèle rapidement périlleux, car très vite je le sens reprendre de la vigueur ! Il tente de m’enlacer ; je m’esquive et lui lance :
    
    — Gardons-en pour après, et allons déjeuner !
    
    Alors que je veux me glisser à nouveau dans ma robe, il m’arrête d’un geste : il veut que je reste nue. J’accède à sa prière en lui faisant remarquer qu’il a déjà remis son boxer ; d’un geste théâtral, il l’envoie promener ! Assis à la table de la cuisine, Valentin scrute chacun de mes gestes en tenue d’Ève : lorsque je mets la table, enfourne la pizza, prépare le gâteau… Il sourit constamment, me flatte ici un sein et là une fesse lorsqu’ils sont à portée. Je le morigène en lui rappelant qu’un jeune bien élevé met les mains sur la table. Il me répond d’un sourire carnassier. ...
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