Mon Ange a un sexe...
Datte: 29/12/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
profélève,
bain,
douche,
cérébral,
69,
confession,
inithf,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... moi, d’une voix enjouée, il évoque le plaisir qu’il a eu à enduire ma peau, si douce sous ses doigts, de crème solaire. Il passe un bras sur mon épaule, me serre contre lui, pose ses lèvres sur les miennes. J’essaie un peu mollement de le repousser ; il insiste, et sa langue me pénètre. Je me sens comme sur un petit nuage. Son baiser est aussi fougueux que maladroit, son haleine agréable, et je m’abandonne au doux ballet de nos langues qui se cherchent, se frôlent, s’enroulent, se fuient comme pour mieux revenir. J’ai les yeux fermés, je suis bien. Par moments, il se détache, me regarde ; j’entrouvre un œil et le referme quand il revient m’embrasser. Ses doigts jouent avec mon petit pendentif, puis descendent vers le premier bouton de ma robe. Je lui murmure des non, nous ne devrions pas qui n’ont guère d’effet. Ma passivité résonne pour lui comme le plus chaleureux des encouragements. Une fois qu’il l’a ouvert, il me caresse le haut des seins langoureusement, puis s’attaque au second…
J’éprouve une sensation étrange de double personnalité : la prof qui, avec distance, presque froidement, regarde Valentin ouvrir un à un les boutons de sa robe, en écarter les pans, dévoiler ses trésors en se disant qu’il faut être folle pour en arriver là sous le bien étrange prétexte d’une nouvelle pédagogie dite moderne, éducatrice-initiatrice ! Et simultanément, la femme sevrée de câlins qui frémit au contact de ses doigts presque innocents, qui virevoltent sur sa peau. Un peu comme ...
... si ma tête s’était dissociée de mon corps ! Valentin tire sur mon vêtement pour me l’ôter ; je me soulève légèrement pour l’aider. Il se lève, le dépose sur l’accoudoir, s’arrête, me regarde vêtue de mon seul shorty. Je reste hypnotisée tant son regard est beau. Pendant près d’une minute, il me dévore des yeux ; je me sens détaillée comme un modèle par un peintre de talent. Il me glisseque t’es belle, se rapproche de moi, m’engloutit un téton. Je caresse, conquise, sa lourde chevelure. Ses dents me mordillent voracement, la douleur est aiguë et je dois le freiner.
— Doucement, Valentin, doucement ! Je suis fragile, là ! C’est la première fois, avec une femme ?
— Euh… oui, Élodie, répond-il, hésitant, retrouvant ses mimiques d’adolescent battu.
— Alors, laisse-moi te montrer les mystères d’une femme. Enlève mon shorty.
Le jeune homme s’agenouille entre mes cuisses, pose ses mains sur mes hanches. De la mienne, je ralentis son geste ; le tissu glisse doucement le long de mes jambes. Il l’enlève, le caresse un instant entre des doigts, le laisse tomber et approche son visage de mon mont de Vénus. Imprégnée jusque dans mon abandon de ma vocation d’enseigner, je m’écarte un peu pour lui ouvrir l’accès de ma féminité. Il disjoint mes lèvres intimes, m’examine cliniquement, m’écarte du bout des doigts, me mettant au supplice. J’ignore combien de temps pourrait durer ainsi son exploration visuelle, mais je l’attire finalement vers moi et goûte à nouveau ses lèvres. Me sentir ...