1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (1)


    Datte: 28/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... consistance qu’il n’avait pas auparavant. J’accélérai mes entrées et sorties en elle, et rapidement je ressentis une sensation bizarre et agréable monter de dessous mes testicules… Je fus éblouis l’espace d’une ou deux secondes et je me déversai en elle en longs jets, la pilonnant à fond comme elle l’avait demandé. Il me semblait que mes jets ne s’arrêteraient jamais…
    
    Nous restâmes quelques minutes tous les deux imbriqués par nos sexes. Elle avait baissé ses jambes pour encercler ma taille. Elle releva son torse pour pouvoir enlacer mon cou de ses bras.
    
    — Viens,cariño ! Viens, pose ta tête sur mes seins. J’ai rarement éprouvé tant de bonheur…
    
    — Tais-toi. Ne dis rien et apprécie ces instants.
    
    — Tu as aimé ?
    
    — Tu ne t’en es pas rendu compte ?
    
    — Si ; tu es doux, et plein defuego en même temps. On recommencera, dis ? Tu restes combien de temps en vacances ?
    
    — Jusqu’à demain : je ne suis pas en vacances, mais en repos entre deux vols.
    
    — Oh, tu es pilote ? Et tu viens souvent ?
    
    — Une fois par semaine durant la saison d’été.
    
    — C’est la première fois que je te vois…
    
    — On ne descend pas toujours dans les mêmes hôtels : c’est la compagnie qui fait les réservations.
    
    — Et tu pars quand ?
    
    — Demain en fin d’après-midi, à 17 heures.
    
    Mon érection avait disparu, et mon sexe était sorti de sa douce grotte. Victoria – car c’est ainsi qu’elle se prénommait – l’avait pris dans sa main et ...
    ... en caressait le gland de ses doigts de fée.
    
    — Il va falloir que je m’en aille,cariño, car à la réception ils risquent de se poser des questions ; c’est même étonnant qu’ils ne m’aient pas encore appelée sur ma radio.
    
    — Et pourquoi es-tu venue ?
    
    — Pour apporter des serviettes propres car ce matin je n’en avais pas suffisamment lorsque j’ai préparé l’appartement après le départ des autres clients.
    
    — Tu reviens, cette nuit ?
    
    — J’aimerais bien, mais ce ne sera pas possible : mon mari est à la maison, et je ne découche jamais la nuit. Mais demain après-midi, si tu veux ; je dirai que je dois remplacer une copine.
    
    — Avec plaisir !
    
    Elle déposa un baiser sur mon sexe et le saisit dans sa bouche afin de bien le nettoyer avec sa langue.
    
    — Hmmm… J’aime son goût après l’amour… Je l’aime, tacuca. Elle me plaît !
    
    En réalité, Victoria avait 38 ans. Elle était mariée depuis dix ans avec un marin-pêcheur qui sortait en mer tous les matins vers cinq heures sur son bateau en bois pour pratiquer la pêche côtière. Ils n’avaient pas d’enfants, et au lit c’était « Écarte les cuisses ; je te la mets, je te la sors, je te gicle dedans, et basta ! »
    
    Elle passa sous la douche rapidement pour ne pas « sentir l’amour », comme elle disait, se vêtit, et après m’avoir longuement embrassé elle disparut comme elle était apparue.
    
    (Pour les lecteurs et lectrices qui auront aimé…. Il y aura un autre chapitre …..) 
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