1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (1)


    Datte: 28/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... rez-de-chaussée il y avait un appartement, et au premier – là où j’allais – un autre avec une immense terrasse donnant sur la piscine.
    
    Je fis entrer la carte magnétique dans son logement et poussai la porte. Un petit corridor donnait sur un salon séparé de la petite cuisine de style américain. Sur le comptoir, la télécommande de la TV. À gauche, deux portes : l’une donnant sur la salle de bain et l’autre sur la chambre à coucher où je déposai mon veston sur le lit en attendant de le ranger dans l’armoire une fois que j’aurais pris une douche bienfaisante. Du salon, une porte fenêtre donnait sur la terrasse. En face, la fenêtre d’un autre bungalow était ouverte.
    
    J’entrai dans la chambre, me déshabillai et passai dans la salle de bain. La douche me fit un bien fou ; je sentis la fatigue du vol s’en aller en même temps que ma sueur par le caniveau de la douche à l’italienne. Je me savonnai au gel douche tout le corps. Lorsque j’arrivai à mes parties génitales, comme d’habitude ma verge circoncise se redressa fièrement, étirant ses dix-huit centimètres, dardant son gland violacé. Elle grossissait dans ma main pour atteindre une circonférence plus que respectable. Je me rinçai sous le pommeau de douche, les yeux clos, laissant l’eau ruisseler sur tout mon corps, appréciant le bien-être. Mon sexe était toujours à la perpendiculaire. Enfin je fermai le robinet et ouvris les yeux.
    
    Devant moi, dans l’encadrement de la porte grande ouverte, se tenait une femme d’une ...
    ... trentaine d’années tenant ses deux mains devant sa bouche. Ses yeux grands ouverts semblaient hypnotisés et étaient dirigés vers mon bas-ventre. Elle était vêtue d’une sorte de robe légère comme en portent les femmes de ménage dans les hôtels ; la sienne était de couleur fuchsia. Ses cheveux noir de jais étaient retenus derrière sa tête par un bandeau blanc en queue-de-cheval. Elle ne bougeait pas et continuait à me fixer comme si elle n’avait jamais vu un homme nu sous la douche en train de bander.
    
    —Holà ! Disculpe… lui dis-je en guise d’excuse, je ne vous ai pas entendue entrer.
    
    —De nada, Señor. C’est de ma faute, j’aurais du sonner… me répondit-elle en continuant à me regarder.Por Dios, vaya que polla ! (Par Dieu, quelle queue !)
    
    —Ven aqui. Acercate… (Viens ici. Approche…) l’invitai-je, ne sachant pas trop quoi lui dire.
    
    Je m’attendais à ce qu’elle prenne les jambes à son cou et se sauve en vitesse de l’appartement. Au contraire, elle s’approcha de moi et releva la tête pour me tendre sa bouche entrouverte pour demander un baiser tout en emprisonnant ma verge dans sa petite main. D’un mouvement de-va-et vient elle commença à me masturber. Rapidement, une goutte de liquide séminal perla à l’orifice de l’urètre. Ses lèvres se détachèrent des miennes et elle se laissa glisser sur le carrelage, à genoux.
    
    Je la regardais faire ; je n’en croyais pas mes yeux ni mes sens. De la pointe de sa langue elle essuya ma perle avant de lécher l’orifice de mon gland. Ensuite elle ...
«1...345...»