1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (1)


    Datte: 28/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... Je ne la fis pas attendre. Ma bouche se colla à sa chatte. Ma langue vint récupérer un peu de liqueur à la porte du vagin pour aller goûter cette framboise qui frémissait d’excitation. Je m’attardai sur cette friandise, la léchant de droite à gauche, de bas en haut. De temps en temps, la pointe de ma langue pénétrait son vagin. Elle se cambrait. Son bassin venait au-devant de ma bouche en ondulant. Un régal ! Quelques secondes plus tard, son feulement laissa place à un« Hoyée… Siii… No te pares… »
    
    — Ne t’arrête pas, continue… Oui…
    
    Ma partenaire – dont j’ignorais toujours le nom – poussa un cri rauque, se cambra en remontant son bas-ventre tout en enserrant ma tête de ses jambes. Elle jouissait comme une damnée, et moi je continuais à me régaler de cette chatte affamée des Canaries. Mon doigt était entré dans son vagin qui était étroit comme celui d’une petite fille. Du gras de mon index retourné, je lui en massais la paroi supérieure, là où se situe en principe le fameux point G tout en dégustant cette chatte affamée et offerte.
    
    — Arrête,por favor, tu me rends folle. Prends-moi maintenant, je n’en peux plus ! Mais fais doucement : tu es monté gros ! J’ai envie de ta queue dans mon ventre…
    
    Elle était toujours dans sa position première, sur le dos avec les jambes sur sa poitrine. Je bandais à en avoir mal. J’approchai mon sexe de sa vulve, frottai mon gland entre ses petites lèvres afin de le badigeonner de sa cyprine, et de mes doigts j’allai cueillir ce doux ...
    ... nectar pour enduire toute la longueur de ma verge. Mon gland était à l’entrée de son vagin. Lorsque je poussai légèrement, je vis une grimace se dessiner sur le visage de ma compagne.
    
    — Je te fais mal ? demandai-je.
    
    —Un poquito, mais ça va. Continue comme ça, doucement, me répondit-elle en venant de son bassin à ma rencontre.
    
    De ses mains sur mes cuisses elle freinait par moments ma pénétration. Au bout de quelques instants mon pubis toucha sa chatte : j’étais en elle de toute ma longueur. Mon sexe semblait se mouvoir dans un gel chaud et visqueux. Que c’était bon ! Elle était hyper étroite ; son vagin entourait mon sexe comme un gant de velours. Puis, quand je poussai à fond pour la pénétrer encore plus profondément, il me sembla ressentir du bout de mon gland quelque chose de dur qui m’empêchait d’aller plus loin.
    
    Je glissais en elle en de lents et profonds mouvements de va-et-vient. Parfois je reculais juste assez pour que le gland ne ressorte pas, puis je retournais dans cette chaleur moite et douce. Elle avait les jambes ouvertes à l’équerre. De son bassin, elle accompagnait chacun de mes mouvements de coït en une danse circulaire alternant avec des va-et-vient. Elle était chaude, étroite comme une pucelle. Son souffle avait recommencé à s’accélérer, puis avait laissé place à ce feulement qui indique les prémices de la jouissance.
    
    — Vas-y… donne moi tout ! Défonce-moi ! Jouis avec moi ! lâcha-t-elle dans un cri.
    
    Elle avait dû sentir mon gland prendre une ...
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