Ouf !
Datte: 20/12/2020,
Catégories:
frousses,
grosseins,
hépilé,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
québec,
Humour
camping,
Auteur: Ingyt, Source: Revebebe
... cette femme-là parler de sperme fit pulser ma bite. Encore la semaine dernière, elle avait reçu en entrevue le premier ministre du Québec.
Pierrette sourit avant de répondre :
— Ne vient pas me dire que tu n’as jamais avalé, ma grande, hum ! Je ne te croirais pas !
— Ouais ! C’est sûr ! affirma-t-elle.Chut pas forte là-dessus, mais ça m’arrive. Mais vous, ma tante, si… si…
— Si quoi ?
— Si digne, si fière. Si hautaine… Enfin ! C’était une sacrée surprise !
— Toi aussi, quand on te regarde à la télé, tu donnes l’impression d’être trop digne, trop fière et trop sérieuse, pas le genre à sucer une bitepis à avaler. Mais on le fait toutes, non ?
— Ouais ! Je sais, mais de là à le voir ! Vous êtes un peu comme ma deuxième mère, j’ai habité chez vous trois ans. Ça me fait drôle, c’est tout. Je ne m’attendais pas à ça en venant camper avec vous ! On est ici pour se reposer pis se faire bronzer, en principe, non ?
—C’est plate ça, se reposer, se faire bronzer ! On ne bronze pas de toute façon toutes les deux. T’es blanche comme un drap, pis moé avec !
— Bon, bon ! J’ai rien dit, ma tante ! C’est vrai qu’avec vous faut que ça bouge tout le temps, même si c’est juste la tête, hum ! dit-elle en lorgnant vers Pierrette contente de sa petite tirade.
— Chut une femme comme les autres, Marie ; j’écarte les cuisses, je suce, pis parfois j’avale. Et ce matin j’avais le goût de sucer pis d’avaler, de faire ce petit plaisir à cet homme-là ; pis Paul en a une belle. Sa bite est ni ...
... trop grosse ni trop petite, bien droite, et sans prépuce, j’aime mieux ça pour ce qui est de sucer. Et toi ?
Je déglutis en regardant Pierrette sourire, les yeux toujours fermés, en me disant qu’elle le faisait exprès pour embarrasser sa nièce comme tout à l’heure ou me faire bander plus dur comme si elle savait que j’étais là. Je commençais à penser qu’avec cette femme-là, tout était possible.
Là, Marie cessa de se brosser les cheveux et regarda drôlement sa tante, les yeux rieurs.
— Ta-ba-rou-ette, ma tante. On parle cru à matin ! lâcha-t-elle en éclatant de rire et rougissant. Ouf ! J’ai chaud !
Sa voix éraillée, si sensuelle, m’envoûtait.
— Ben, si on veut bien se comprendre, il faut utiliser les bons mots, non ? T’es une spécialiste de la communication, tu devrais le savoir. T’as étudié là-dedans.
— J’ai étudié en communication, en journalisme et un paquet d’autres choses, mais pas en discussions entre femmes sur les pénis, les pipes et… et le reste ! fit Marie en recommençant à s’occuper de sa longue chevelure épaisse. Je parle cru aussi parfois avec mes amis de fille, surtout quand on a un petit verre dans le nez, mais avec vous c’est la première fois ! Ça me gêne un peu, c’est comme si je faisais ça avec ma mère.
— Seigneur, ta mère et moi, si tu savais ce qu’on se raconte !
— Non ! Non ! ! Non ! coupa Marie. Je ne veux justement pas le savoir. Ma tante, tabarnouche, on pourrait pas parler d’autre chose ? Je sais pas… c’est beau dans le coin, non ?
— ...