1. Ouf !


    Datte: 20/12/2020, Catégories: frousses, grosseins, hépilé, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme québec, Humour camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... à l’époque où cette fille avait commencé à faire de la télé, je m’étais souvent demandé pourquoi jetripais autant sur elle. C’était une bombe, oui, mais pas mon genre. Puis j’avais fini par comprendre. Elle ressemblait terriblement à ma sœur. Ma belle grande sœur, d’un an mon aînée, avec qui j’avais eu mes premières expériences sexuelles comme bien des garçons. Elle était curieuse, là,tabarnouche, même si elle était aussi timide que moi. Comme notre mère était morte dans un incendie un jour où on était à l’école et qu’on n’avait pas d’autre famille, on nous avait placés séparément. Moi à l’orphelinat, puis adopté par la suite ; et elle, dans une famille francophone aux États-Unis, dans le Maine. On ne s’était jamais revus et comme tous nos souvenirs de famille s’étaient envolés en fumée, c’était à peine si je me rappelais à quoi ressemblait ma sœur, si ce n’est qu’elle aussi était un vrai garçon manqué avec de grandes dents de lapin sur le devant.
    
    Marie Lemieux, la belle lectrice de nouvelles, me rappelait ma sœur et mes premières expériences sexuelles. C’était probablement pour ça que j’avais développé une petite obsession pour elle.
    
    Je revins à la réalité en les entendant rire et je continuai à filmer.
    
    Comme moi, Marie avait une petite bosse au front, mais aussi quelques ecchymoses aux cuisses probablement dues à sa mésaventure dans la roulotte.
    
    Il faisait de plus en plus chaud et sa peau pâle à peine bronzée se couvrait de sueur. Comme mon ex, c’était le genre ...
    ... de fille à rester blanche tout l’été sauf au-dessus des bras et des cuisses.
    
    Elles riaient constamment, ces deux rousses-là, un trait de famille sans doute.
    
    Puis Marie posa son café sur la table, prit la brosse et commença à démêler ses longs cheveux qui avaient séché au soleil, en décroisant les jambes, enfin. Mais comme son derrière se trouvait plus bas que ses genoux à cause du renfoncement de la chaise en toile, je ne vis rien, si ce n’est son beau nombril. J’étais si près que je n’osais pas me lever complètement de peur qu’elle ne me voie, mais je pus le faire suffisamment pour apercevoir finalement son sexe sous la serviette entr’ouverte et sa belle toison ovale presque en gros plan et je filmais tout ça. « Merci, petit Jésus », me dis-je !
    
    Ça valait le détour et quelques petites douleurs. Oh oui !
    
    — En tout cas je n’en reviens pas ! dit-elle en refermant les genoux.
    
    Merde ! Je me rassis sur les fesses. Elle rouvrit les cuisses, je me redressai et mes genoux craquèrent. Outch ! Elle les referma aussitôt. Cette fois je restai assis et filmai Pierrette encore un peu.
    
    — De quoi ! fit celle-ci les yeux fermés, le visage serein levé vers le soleil.
    
    De la sueur perlait de sa gorge jusqu’entre ses seins pour s’accumuler dans son nombril et les petits replis de son ventre un peu rond.
    
    — Ben, fit Marie sur un ton enjoué, ça fait pas mal bizarre de surprendre sa tante en train d’avaler le sperme d’un gars.Tabarouette, ça donne un choc !
    
    Wow ! Entendre ...
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