Christine Panama
Datte: 20/12/2020,
Catégories:
fh,
amour,
cérébral,
Oral
fsodo,
québec,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... expérimentée que moi en la matière. Ce que je suis certain, c’est qu’il faut de la confiance en son partenaire.
Une fois, je crois que c’est en décembre 2015, elle m’a sucé comme elle le fait si bien. Sa langue est descendue sur mes couilles, puis elle s’est mise à me lécher l’anus. C’était bien, je dois avouer, je me disais en rigolant, le fisc me lèche le cul, sauf qu’elle y a approché un doigt. Mon anus devait être lubrifié, dilaté, parce j’ai senti que son doigt pouvait entrer en moi. Mais ç’en était trop, je lui ai dit d’arrêter, j’ai sorti son visage d’entre mes jambes, lui ai dit violemment :
— Non, tu ne me touches pas là !
J’étais dans une forme de fureur, il était hors de question que l’on me touche à cet endroit, je n’allais pas me faire enculer à mon tour ! et je l’ai bien fait savoir à Christine. J’ai pris l’un de ses foulards et lui ai ligoté son poignet gauche sur sa cheville gauche, et son poignet droit sur sa cheville droite. Elle me regardait, soumise, offerte, le cul ouvert et je lui ai pénétré le fion alors qu’elle ne pouvait bouger. Elle criait de douleur et/ou de jouissance et quand je me suis senti venir, je suis sorti de son cul pour éjaculer partout sur son corps attaché.
— Fred, qu’elle m’a dit plus tard, je ne t’aurais pas fait mal…
— Excuse-moi si j’ai mal réagi, mais non, je ne veux pas que tu me doigtes le cul, non…
— Mais vous, les hommes, avez une prostate…
— Je sais, mais non, excuse-moi encore d’avoir mal agi.
Elle s’est ...
... collée contre mon dos, écrasant ses seins chauds contre moi :
— Mais non, j’aime ça quand tu m’attaches…
J’avais trouvé une fille extraordinaire. J’aimais l’enculer, elle aimait se faire enculer. Voilà, c’est simple, ça ne peut être mieux dit. Mais moi, on ne m’enculera pas.
Avril 2016. La veille, j’ai quitté les États-Unis plus tôt que j’en avais l’intention. Il y a eu scandale dans les journaux, tout le monde cherche la taupe, trop d’informations ont été dévoilées, autant me tenir à l’ombre, au septième étage de la tour Elizabeth.
Je l’ai fait savoir à Christine et elle m’a demandé si j’allais être à la maison, j’ai confirmé. J’ai préparé quelques bouchées, prévu une bouteille de blanc au frigo. Il n’y avait rien de plus, une soirée comme elle et moi les aimons. Par contre, peut-être aura-t-elle une nouvelle idée surprenante, comme la fois où elle est arrivée nue sous son long manteau, un des classiques. Ou bien celle où elle a joué la jeune fille errante comme une biche dans la ville, perdue et retrouvée chez moi. Ou bien le rôle de la policière – elle avait l’uniforme, avec menotte et calot ! – qui venait enquêter sur un meurtre crapuleux commis dans le voisinage et qui se faisait prendre dans les rets du prédateur – moi ! La policière a eu le visage éclaboussé, à la fin de son enquête.
Toutes sortes de jeux qui se terminaient par une seule possibilité, sa jouissance et la mienne. Ce soir, ce sera nouveau à nouveau ! J’ai bien fait de quitter le Delaware plus ...