Christine Panama
Datte: 20/12/2020,
Catégories:
fh,
amour,
cérébral,
Oral
fsodo,
québec,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... métro.
Plus tard, dans la journée, je reçus un appel d’un de mes associés. Une crise venait de se déclarer, et il nous fallait réparer les pots cassés. Je suis donc parti pour Turin, puis Lausanne, en passant par Londres pour régler cette histoire de fuite possible
Je suis revenu passer du temps à Montréal trois jours en novembre, deux semaines en décembre pour Noël. Puis quelques jours vers la fin janvier 2016. Le mois de février a été un continuel déplacement, vols en avion, rencontres rapides, décalages horaires, signatures de délégation. Je ne suis plus retourné au Costa Rica ; j’avais abandonné Sileny à ses bijoux. Toutefois, dès que l’occasion se présentait, dès que je n’avais pas de travail à réaliser à Montréal, je prenais contact avec ma petite amie du primaire, Christine, devenue femme, femme qui aimait donner fellation et se la faire mettre dans le cul. C’est comme ça que je voyais notre relation. Et j’aimais ça. Et elle aussi, sans doute.
Chaque fois que j’étais à Montréal, j’allais chez Christine, ou elle venait chez moi. Durant ces huit ou neuf mois de relation sexuelle, entrecoupés par mes voyages et mes absences, nous avons dû faire l’amour une soixantaine de fois. J’ai dû la pénétrer vaginalement peut-être trois ou quatre fois seulement. La sodomie était la pratique commune. Quand nous étions ensemble, nous ne faisions que baiser. Je lui ai dit à l’occasion :
— Nous pourrions aller au restaurant, ou aller voir un film au ciné, qu’en dis-tu ? ...
... mais sa réponse était invariablement :
— Ce n’est pas ce que je recherche avec toi. Tu voyages, tu pars, tu reviens, on baise, c’est bon, c’est correct, non ?
Oui. Oui, ça m’allait très bien. Je songeais même à m’installer pour de bon à Montréal. Déléguer mes pouvoirs dans les autres villes où je travaillais, gérer à distance, m’établir, baiser Christine plus régulièrement.
Parce que, il faut le dire, même si j’étais à Turin avec Alessandra – claquant ses fesses alors que je la prenais en levrette, elle aimait ça – ou bien à Tokyo avec la petite Esumi – baisant debout le plus souvent – ou bien encore à Londres avec une fille de passage, tout me faisait revenir à Montréal, entre les fesses ou les lèvres de Christine. J’y rêvais la nuit, des fois, le jour, souvent : je bandais tout seul dans le métro ou dans une salle d’attente alors que mon esprit divaguait.
Je ressassais nos soirées et nos nuits ensemble : soit Christine contrôlait tout le mouvement – ses pieds à plat sur le lit, au niveau de mes hanches, se dilatant l’anus elle-même, se maintenant de ses mains sur mon torse – ou bien au contraire, elle s’offrait entièrement – le cul relevé, la tête dans l’oreiller. On changeait les positions, nous étions acrobatiques, avons utilisé toutes les pièces de nos deux appartements, tous les fauteuils et divans pour s’assouvir. Bizarrement, quand je la pistonnais fortement, qu’elle se laissait aller à des pulsions animales en criant incroyablement bien, et que je vivais et ...