Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin - Histoires de Sexe

Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin

... chacun s’activait sur le sexe de l’autre…

Allez savoir pourquoi, parce que je n’en avais nulle expérience, ma langue est remontée vers le petit œillet ourlé de ma cavalière. Au mouvement de son bassin j’ai compris qu’elle n’appréciait pas, au moins à ce moment-là. Je n’ai pas insisté et j’ai continué avec ma langue et mes doigts à explorer toutes les zones érogènes exposées.

Pendant ce temps, l’amie de mes parents continuait son travail autour de ma hampe. Comme, me disait-elle, il s’agit d’une caresse très appréciée en son pays, elle en maîtrisait toutes les techniques et alternait les pressions au bas de ma queue pour éviter une éjaculation trop rapide avec ses longs suçons autour du gland. Quelquefois elle s’arrêtait et, gamine, elle couvrait alors tout mon sexe de petits baiser gentils. Quelle fête !

Nous avons compris quasi en même temps que nous allions atteindre le paroxysme de notre plaisir. Je me demandais si j’allais jouir dans sa bouche ou bien me retirer avant ? Je me suis dit qu’elle connaissait bien le corps de l’homme et que je pouvais lui faire confiance pour, le moment venu, me faire comprendre ce qu’elle voulait.

En tout cas, elle ne se privait pas de se libérer dans ma bouche et j’en avais le visage rempli.

Pourquoi elle et pas moi ?

Pour bien l’avertir de l’imminence, j’ai effectué des mouvements du bassin et puis je ne me suis plus retenu et je lui ai lancé tout mon sperme dans la bouche, profitant du moment où ma queue y était ...

... profondément enfoncée.

À ce moment, Jora a eu des mouvements saccadés de tout le corps et, une nouvelle fois, elle a répandu sur mon visage ses sécrétions abondantes.

Nous nous sommes redressés et, sans nous consulter, nous avons joint nos bouches pour y mélanger nos jouissances. Toute différence d’âge était abolie. Une femelle profitant au maximum du sexe vigoureux et disponible d’un jeune amant. Plus de retenue mais rien que la satisfaction réciproque d’un appétit sexuel à combler.

Avant de s’endormir et avant d’autres plaisirs encore à venir, Jora m’a dit à nouveau tout le plaisir qu’elle avait eu à se nourrir de ma jouissance, se félicitant de la dureté et de l’endurance de ma verge et de sa propre satisfaction multiple d’être fouillée par une jeune langue et de jeunes doigts…

J’ai aussi osé lui dire tout mon désir de pouvoir, quand elle le voudrait, m’occuper de son autre jouissif orifice. Entendant cela elle m’a fit signe « silence » comme si c’était un sujet tabou.

On était bien loin de notre vernis de bonne éducation bourgeoise et en paroles et en actes nous nous sommes laissé aller à tous nos désirs profonds.

Nous nous sommes endormis repus et heureux, toujours enlacés, sans même passer par la douche.

Tous les débordements ont été permis et j’ai reçu une magnifique leçon d’amour.

XXXXXXX

Nous nous étions assoupis après avoir fait le tour des plaisirs de nos corps. Notre contact avait été intense et Jora avait profité, sans retenue aucune, de toute ...