Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin - Histoires de Sexe

Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin

... avait tendance à gonfler un peu mon bermuda.

Un moment donné, Jora a pris quelque chose dans la boîte à gants et, de son coude, elle a effleuré ma cuisse. A-t-elle ou non senti le gonflement sous le tissu ? Je l’ignore et son sourire pouvait n’avoir aucun rapport.

Arrivés à l’hôtel… surprise ! À la réception on nous a dit qu’il y avait erreur de leur part et que nous n’aurions qu’une chambre vaste à deux lits au lieu des deux singles.

Allez savoir pourquoi… cela a provoqué un fou rire, tant à Jora qu’à moi. Nous avons dit à l’hôtelier qu’il fallait bien s’en contenter puisqu’il n’y avait rien d’autre.

Nous avons déposé nos bagages dans la chambre et, vu l’heure, Jora m’a suggéré de me changer pour le dîner et d’occuper la salle de bains. Elle ferait de même ensuite.

J’ai mis un pantalon bleu et une chemise blanche. Je devais être beau comme un jeune homme de bonne compagnie respirant la santé !

J’étais au bar lorsque Jora, qui avait pris tout son temps, fit une entrée éblouissante. Elle avait accentué son maquillage, mettant en valeur la pureté de son visage ainsi que ses yeux profonds et sa bouche délicatement ourlée.

Elle s’était posé un petit diamant à la narine gauche et une touche de henné au front. Pantalon bouffant bleu clair et un large paréo qui découvrait plus de trois centimètres de sa taille foncée. Un foulard était négligemment jeté sur ses épaules. Elle fit sensation.

Je me suis poliment levé et, très galant (ma bonne éducation !), j’ai ...

... posé un baiser chaste sur le dos de sa main en la complimentant sur sa beauté. Elle a certainement été touchée par mon hommage discret.

Le dîner était délicieux, Jora avait commandé les meilleurs vins. Je n’avais pas l’habitude de boire et je ressentais déjà les effets de l’alcool. J’étais subjugué par la classe de ma compagne. Elle me traitait comme un égal, me questionnant sur la qualité des mets et des vins. Après dessert, nous avons convenu de faire une petite promenade digestive dans le parc de l’hôtel.

Inconsciemment, j’ai pris la taille de Jora et elle fit de même. Nous nous aidions ainsi à marcher droit malgré nos libations !

Sous ma paume, je sentais la chair nue et chaude de sa taille découverte par le boléro et… j’en ressentis les effets. J’ai osé remonter un peu ma main et j’ai senti qu’aucun soutien-gorge n’était là pour soutenir la poitrine de ma promeneuse. Je n’ai pas osé en faire plus. À ce moment-là, j’étais bien loin de m’imaginer qu’une femme d’une telle classe et, de plus, du double de mon âge, aurait pu s’intéresser à moi pour autre chose que d’être un agréable compagnon de route.

De retour à l’hôtel, Jora me proposa un dernier cognac au bar. Elle me demanda ensuite de déjà monter dans la chambre, de faire ma toilette et de me mettre au lit. Elle me rejoindrait plus tard.

Très rapidement, je me suis déshabillé, j’ai pris une douche et, nu comme à mon habitude, je me suis couché dans le premier des deux lits, en laissant une lampe de chevet ...