Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin - Histoires de Sexe

Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin

... bas-ventres abondamment mouillés se séparèrent enfin et j’ai retiré mon sexe de son ventre encore pantelant de plaisir.

Nous étions haletants tous deux et nous nous sommes laissé tomber sur le lit proche. Je me suis penché vers la bouche de ma maîtresse et je lui ai dit « merci » avant de l’embrasser avec une passion totale. Elle a répondu avec fougue à mon baiser et nos langues virevoltaient comme des oiseaux en cage.

J’avais une main sur son sein et l’autre entre ses cuisses, où je pinçais délicatement son bouton d’amour encore gluant de nos ébats. Elle me caressait le dos.

Aucun de nous deux n’aurait pu dire ce qu’avait duré cette magnifique partie de partage d’intimité.

Côte à côte sur le lit, nous nous sommes reposés la main dans la main, comme de vieux amoureux. Jora continuait sa conversation amoureuse et avait visiblement perdu toute réserve, parlant de sexe sans retenue et avec des mots osés mais non crus. J’avais un vocabulaire salace bien moins étendu !

C’est alors qu’elle m’a expliqué (et je m’en doutais un peu), que, mariée très jeune, elle n’avait plus aucune attirance physique pour son mari et que leur vie sexuelle était proche de zéro. Elle croyait même être trompée copieusement lors des nombreux voyages de son mari. Lorsqu’elle m’a vu pour la première fois, elle a eu chaud au ventre et finalement elle est bien contente de ce qui se passe entre nous. Pour elle, c’est comme une nouvelle jeunesse.

Ma compagne avait pris mon sexe débandé en ...

... mains et, mutine, elle se mit à jouer avec lui comme si c’était un jouet en peluche à sa seule disposition. Cela ne dura évidemment pas et, bien vite, ma verge reprit une dimension normale compatible avec ce qu’elle lui faisait agréablement subir. Elle riait comme une gamine de voir ainsi la transformation de mon membre.

Elle s’en est approchée et l’a pris en bouche pour une longue fellation. Sa langue en parcourait toute la longueur, tournait autour du gland, titillait l’orifice d’où sortira le sperme, s’attardait aux testicules qu’elle suçait goulûment et, en plus, de sa main elle entretenait un léger va-et-vient. C’était comme une friandise offerte. J’étais évidemment aux anges.

J’ai pris Jora par le bassin et j’ai plaqué sa chatte sur ma bouche. C’était un 69 de perfection classique !

Je n’ai pas encore touché de ma langue mais j’ai détaillé du regard ce qui s’offrait ainsi à moi. Je me suis enhardi à ouvrir les lèvres, découvrant ainsi le bouton d’amour que j’avais déjà caressé plusieurs fois pendant nos ébats. Il tranchait, bien rose parmi les chairs intimes beaucoup plus foncées. Comme ma bouche était proche de cette grotte béante, mon haleine chaude devait être perceptible par ma compagne.

Finalement, j’y ai glissé agilement ma langue et j’en ai fait une exploration complète, buvant ma satisfaction à la source abondante. Je recevais en bouche le produit des nombreuses jouissances de ma compagne et j’ai pris plaisir à en découvrir toutes les saveurs…

Ainsi ...