1. Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin


    Datte: 14/12/2020, Catégories: fh, fplusag, couleurs, hotel, douche, amour, intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, Auteur: Bodding, Source: Revebebe

    ... ma vigueur sexuelle tout en m’enseignant des choses de l’amour.
    
    Après à peine une heure d’assoupissement, je me suis réveillé… J’avais oublié d’éteindre les lumières.
    
    Je me mis sur un coude et me mis à admirer le corps nu de ma compagne de lit. Elle était sur le dos, jambes mi-ouvertes, un bras derrière la tête. Ses seins s’étalaient bien sur sa poitrine et, allez savoir pourquoi, les pointes en étaient dures et érigées.
    
    Sa chatte était entrouverte et, m’en approchant, j’en sentis l’odeur de miel poivré.
    
    Encore gamin, je me suis mis à califourchon sur le visage de ma délicieuse maîtresse et, avec mon sexe débandé, je lui donnais des petits coups sur le visage, agaçant son nez, ses yeux, son front et glissant près de sa bouche. Ma bourse reposait sur son menton.
    
    Ce contact pour le moins spécial a éveillé ma partenaire et elle s’est ébrouée comme un jeune chien. Ouvrant les yeux, elle comprit mon jeu et, mutine comme à son habitude, elle participa en bougeant son visage et en tentant, bouche ouverte, se s’emparer de mon membre !
    
    Je m’étais évidemment mis à bander lorsque mon sexe disparut tout entier dans la bouche avide de ma compagne, toujours couchée sur le dos. Elle avait pris mes fesses en main et leur imprimait un mouvement rythmé pour activer le mouvement vorace de sa bouche.
    
    Curieusement, une de ses mains a glissé entre mes fesses et a atteint mon œillet anal. Jusqu’à présent, nous avions toujours évité un contact de ce genre.
    
    Pour lui faciliter ...
    ... l’accès, j’ai bien ouvert ma raie fessière. D’un doigt fureteur elle parcourait l’extérieur de mon intimité, tâtant la résistance des muscles de l’entrée et remontant vers mes testicules où elle s’est attardée en y sentant la dureté de la base de ma verge.
    
    Un peu salaud sur les bords, j’ai avancé doucement mon bassin et j’ai ainsi amené mes fesses à hauteur de la bouche de Jora. Elle n’avait plus qu’à sortir la langue !
    
    Fera… fera pas ? Oui, elle l’a fait et, très délicatement, elle a effleuré de la langue toute cette zone érogène, la parcourant comme un papillon de nuit.
    
    Elle m’a alors attiré près d’elle et, en m’embrassant, elle m’a raconté à mi-voix et avec une certaine pudeur que son mari, qui a d’ailleurs été le seul homme à lui faire l’amour avant moi, est très fort membré et qu’il voulait souvent la prendre par-derrière.
    
    Elle avait pu éviter cette pénétration sauf un jour où il la força presque en la violant. Elle en avait un mauvais souvenir car son mari n’avait pris aucune précaution de lubrification et il s’était retiré brutalement après s’être répandu en elle. Depuis, elle avait pu espacer les appétits de son mari et s’était toujours refusée à une nouvelle pénétration anale. Elle était comme gênée de me raconter tout cela. J’ai pris cette confidence comme une preuve de confiance.
    
    Je lui ai dit que j’étais « son petit homme à elle » et qu’elle devait me demander tout ce dont elle avait envie et me refuser tout ce dont elle ne voulait.
    
    Nous étions ...