1. Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin


    Datte: 14/12/2020, Catégories: fh, fplusag, couleurs, hotel, douche, amour, intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, Auteur: Bodding, Source: Revebebe

    Cette histoire n’est pas une suite du n° 13557 (Revebebe) bien que vous y retrouviez les personnages principaux …Le jour du départ vers notre maison de Dordogne est vite arrivé et, un beau matin, mon mari, Beram (fils de Jora) et moi nous avons pris la route laissant sur place Jora (la jolie mature indienne) et Jean (mon fils) qui devaient nous rejoindre seulement le 31 juillet.Je leur avais laissé ma Mini Cooper et, comme il ne pouvait quitter que l’après-midi, j’avais réservé pour eux, via internet, deux chambres single à mi-route. J’avais trouvé un hôtel de charme à prix raisonnable, comme il y en a encore beaucoup en France profonde.Je vais maintenant laisser la plume à mon fils Jean, puisque c’est lui qui va nous raconter son voyage.
    
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    Avant toute chose, je voudrais préciser deux choses. La première c’est que, contrairement à ce que supposaient mes parents, j’ai une vie sexuelle raisonnable comme tous les jeunes de mon âge. En terminale et préparatoire nous étions assez libres et les filles n’étaient guère farouches, surtout pour des ébats de fins de soirée, sans lendemain. Néanmoins je privilégiais mes études…
    
    La seconde c’est que je me doutais un peu que ma mère et Beram avaient, au moins, une attirance sexuelle mais j’en ignorais la conclusion. Cela me laissait indifférent pour autant que ma mère fût heureuse. Mon père et moi n’avions pas beaucoup de contacts. Tant pis pour lui.
    
    Par contre, moi je flashais sans espoir sur Jora depuis que je l’avais ...
    ... vue en bikini, les seins nus au bord de la piscine. Faut pas rêver !
    
    Au jour dit, nous avons pris la route vers 16 heures. Jora conduisait car je venais seulement d’avoir mon permis il y a peu et je n’avais quasi pas d’expérience de la route.
    
    Comme la journée était belle, j’étais en chemisette et bermuda.
    
    Jora avait mis une robe-chemisier en soie d’un jaune soutenu, qui contrastait très bien avec la couleur de sa peau. La matière faisait que le tissu épousait les formes du corps au moindre mouvement. Elle était très légèrement maquillée et sa somptueuse chevelure était maîtrisée en chignon.
    
    En route…
    
    Nous nous sentions bien et nous parlions de choses et d’autres en voyant défiler les kilomètres. Jora était une habile conductrice jouant avec facilité de la puissance du moteur.
    
    Il faisait chaud et le bas de la robe de Jora reposait sur ses genoux, remontant même un peu par le jeu des jambes accélérateur-freins. Finalement, elle s’est trouvée dénudée jusqu’à mi-cuisse. Elle avait les cuisses entrebâillées et, croyez-moi ou pas, je sentais une douce odeur de femme mélangée à son parfum capiteux genre Opium.
    
    Un petit diable de passage me soufflait à l’oreille de glisser mes mains à l’intérieur de ces cuisses brunes et tentatrices. C’est vrai que cela devait être bon, des caresses routières !
    
    Vous me voyez recevoir une gifle en retour, un sermon de mon père, des yeux courroucés du mari… Belles vacances ! Cela m’a cependant provoqué une légère bandaison qui ...
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