Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin - Histoires de Sexe

Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin

... disparaître toutes les traces de nos jouissances multiples.

Nous sommes restés enlacés sous le jet d’eau bienfaisant. À un certain moment, mais je devais me tromper certainement, j’ai cru que ma compagne faisait pipi.

J’ai approché ma main de sa chatte pour en être certain et, ma foi, elle s’est laissé aller à faire pipi. En me regardant elle riait comme une gamine, comme si c’était une bonne blague qu’elle me faisait !

Je ne me suis pas privé de la caresser pendant ce moment privilégié et de grande intimité.

Comme j’en avais également besoin, je lui ai mis ma verge dans la main et je mis suis mis à uriner, la laissant diriger le jet. Cette garce (sorry…) s’arrosait copieusement et elle visait particulièrement sa chatte, toujours en s’amusant comme le ferait une adolescente vicieuse et expérimentée.

Après nous être essuyés mutuellement nous avons rejoint notre lit commun pour continuer la nuit… si l’on peut dire !

J’ai encore pris Jora par la voie normale et en missionnaire, longuement, avec beaucoup de douceur, respectant l’arrivée de son plaisir. Elle ...

... jouissait pleinement du moment présent et le savourait avec délectation. Elle ponctuait ses jouissances multiples par des baisers voluptueux… que je lui rendais d’ailleurs.

Il y avait entre nous une symphonie exceptionnelle des corps, chaque mouvement de l’un correspondait au désir de l’autre…

C’est les jambes emmêlées que nous nous sommes réveillés le matin.

Hélas, c’était la fin de notre escapade… et nous devions prendre la route pour rejoindre mes parents.

En montant en voiture, ma compagne a mis sa tête sur mon épaule et, les larmes perlant, elle m’a embrassé rapidement le coin de la bouche avec des petits « mercis » nombreux.

Eh oui… quel souvenir ! Je me doutais bien que nos contacts ne seraient plus qu’épisodiques au cours des vacances… Il faudra se contenter des souvenirs de ces deux nuits…

Elle m’a dit « merci » mais elle s’est trompée… c’était à moi de lui dire mille « mercis » pour tous ces cadeaux de chair qu’elle m’avait donnés sans retenue.

La route a été sans histoire. À l’arrivée chez mes parents, ma mère a trouvé que j’avais les yeux cernés !