1. Portrait volé


    Datte: 04/12/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, forêt, campagne, amour, soubrette, jalousie, dispute, pénétratio, jeu, mélo, portrait, historique, Auteur: Musea, Source: Revebebe

    ... Il dirigea son sexe tout contre la fente ruisselante et le frotta sur le clitoris ultra sensible, puis il fit glisser sa verge tout contre l’entrée vaginale. Il sentait son sexe frémir contre celui d’Élise.
    
    — Me veux-tu en toi, mon amour ? Dis-le-moi… Dis-le-moi… Je te veux si fort…
    
    Un gémissement tout à la fois de désir et de plaisir échappa à la jeune comtesse tandis que ses regards plongeaient dans ceux de François de Saillant avec autant de passion que l’homme qui la contemplait.
    
    — Viens ! murmura la jeune femme avec fièvre en l’attirant tout contre elle.
    
    Alors, dans un soupir heureux, ses yeux gris-bleu fondus à ceux brun sombre de son amante, le comte de Saillant la pénétra lentement, s’attachant à lui faire ressentir toute la force et la douceur de la rencontre de leurs deux sexes. Il se sentit à ce moment-là le plus puissant de tous les hommes, le plus accompli. Et il retrouvait aussi de manière animale, sauvage, quelque chose qu’il avait oublié depuis son mariage. Quelque chose qui le surprenait à revers de lui-même et qui en même temps le reconnectait à la vie, à l’amour et au bonheur : c’était cette sensation d’être un homme sûr de sa quête, sûr de ses sentiments et de leurs deux désirs, avides, passionnés. Mais aussi sûr de ce qu’il allait pouvoir vivre avec cette jeune femme que tout son corps mature venait de choisir pour vivre ensemble. Au moment où il toucha de sa verge tendue le col de l’utérus gonflé, il gémit. Le vagin trempé d’Élise suçait ...
    ... goulûment son phallus qui allait et venait lentement, faisant frissonner d’émoi sa maîtresse. Un baiser ardent réunit leurs bouches, tandis que leurs mains caressaient leurs corps nus, arqués par la tension fantastique du désir, à la fois feu et eau tumultueuse, pierre aiguisée et sable mouvant, brise fraîche et tempête orageuse.
    
    Ils se regardent, se boivent, se mangent, communient ensemble dans cette vague brûlante, ode à la nature heureuse… Ils ont conscience de la pureté de diamant de ce moment… plongent dedans avec ivresse, passion… Tout ce qui les retenait auparavant semble céder sous l’étreinte, les caresses, les baisers. Leurs deux sexes s’étreignent avec force, testant leur résistance, leur agilité, leur tendresse… Au front de François et d’Élise, la même sueur, les mêmes étoiles dans leurs yeux. Il n’y a plus d’âge ou de distance qui les sépare. L’amour a tout aboli, la solitude, l’abandon, les peurs de vieillir, d’aimer. Tout est devenu simple, facile comme jamais auparavant…
    
    — Je t’aime depuis si longtemps, François, murmure Élise en gémissant de plaisir…
    — Je t’aime depuis que j’ai entendu Vincent me parler de toi, lui répond le comte. Je t’ai attendue des années sans m’en rendre compte vraiment d’abord, puis avec le désir secret de te conquérir ; et maintenant nous sommes réunis pour toujours, ma chérie. Et nous allons être heureux comme nous le méritons. Sens comme ton sexe est heureux au contact du mien, sens comme notre désir est puissant… comme notre amour ...