1. Portrait volé


    Datte: 04/12/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, forêt, campagne, amour, soubrette, jalousie, dispute, pénétratio, jeu, mélo, portrait, historique, Auteur: Musea, Source: Revebebe

    ... menus et ronds comme des pommes, aux épaules rondes également où persistait un reste d’enfance et de candeur entre la clavicule et la naissance du cou… Et dans le regard qu’il échangea avec la jeune comtesse, il perçut la même angoisse qu’il avait ressentie chez Camille la première fois qu’elle s’était donnée à lui. Alors il lui sourit avec tendresse et murmura :
    
    — N’aie pas peur… Tu es celle que j’aime et désire depuis cinq ans, et je sais que tu me désires tout aussi fort. Ce moment est à nous, rien qu’à nous. Et tu n’as rien à me prouver. Tu es belle et je t’aime. Et je te veux pour toujours. Si tu me veux aussi, je te prouve à l’instant que nous sommes faits l’un pour l’autre. Réponds-moi seulement, mon amour…
    — Oui, murmura Élise. Je veux être à vous, je vous aime… Mais…
    — Mais quoi ?
    — Que dirons-nous tout à l’heure ?
    — Rien… Notre bonheur ne concerne que nous. Il sera temps d’ici quelques mois d’annoncer nos fiançailles…
    — Et si les domestiques faisaient courir le bruit que…
    — Je suis prêt à me battre avec quiconque tentera une calomnie… Maintenant, ne dis plus rien. Laisse-moi t’aimer, murmura le comte en caressant doucement la chevelure brune de la jeune femme.
    
    En parlant, il avait quitté ses derniers vêtements. Son sexe se dressait haut contre son ventre. Élise baissa les yeux à cette vue mais François lui releva la tête.
    
    — Je ne suis pas Jupiter qui abusait des nymphes et des muses durant leur sommeil ou bien sous un déguisement. Je t’aime, Élise, ...
    ... sois-en convaincue.
    — Je sais… Je ne suis pas abusée… juste intimidée…
    
    François sourit. Il caressa le modelé tendre et doux du visage de sa maîtresse puis, dénouant le dernier lien du dernier jupon de la jeune femme, il dénuda le bassin et les cuisses d’Élise. Elle était nue à présent… nue dans ses bras, le corps palpitant sur le couvre-lit de soie. Le comte soupira à cette vue : Élise dépassait en beauté tout ce qu’il avait pu imaginer. Il caressa son buste tout en baisant son cou et ses épaules, puis descendit à son ventre et ses reins. La douceur de sa peau, la délicatesse de ses formes donnaient à ses baisers une fièvre qui l’embrasait tout entier. Élise soupirait sous les caresses de François. Elle aimait sa bouche et ses mains sur elle. Elle aimait cette force et cette passion qui l’entraînaient à s’abandonner. Elle gémit lorsqu’il lui ouvrit les cuisses pour goûter à son intimité. Vincent ne l’avait jamais caressée ainsi. La langue de François découvrait sa fente avec douceur et avidité, léchant les bords renflés des grandes lèvres, s’attardant sur le clitoris dressé avant de plonger dans le corridor humide et frémissant du vagin. Chaque coup de langue aiguisait le sexe de la jeune femme, alimentait plaintes et soupirs de volupté.
    
    Lorsque François sentit les premiers frémissements de plaisir d’Élise, il releva la tête, contempla la jeune comtesse avec un amour infini, avant de se hisser jusqu’à elle pour lui faire découvrir entre ses cuisses l’ardeur de son désir. ...
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