1. Trois jours près d'elle


    Datte: 27/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Première fois Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster

    ... large décolleté , couvrant en partie seulement, un corsage blanc, strictement boutonné et fermé au col. Ce corsage contenait avec peine une poitrine qui révélait désormais sa véritable opulence.
    
    Elle me conduisit au salon, sans un mot.
    
    Je patientais dans un fauteuil un peu trop profond à mon goût. Elle revint au bout d’un instant avec un plateau et deux tasses.
    
    C’est elle qui parla la première :
    
    — «Je ne supporte pas ces moments de solitude. Je vous ai demandé de venir par ce que vous êtes le seul homme actuellement qui ne me fasse pas peur. »
    
    J’étais quant à moi terrifié par la situation.
    
    — « Si cela c’est passé l’autre nuit entre nous, c’est parce que vous êtes l’ami de mon fils. Vous, vous ne m’abandonnerez pas parce que vous ne pouvez pas m’aimer. Si vous m’aimez, ça ne peut être que comme on aime une mère. Une mère ça ne s’abandonne pas n’est-ce pas ? »
    
    Je n’eus que ces mots d’une voix tremblante : « Je vous aime, et cela depuis l’instant où je vous ai vue.».
    
    Brusquement elle se leva. Dévorée par la colère : « Ne me dites plus jamais ces mots. Vous aimez peut-être mon corps, certaines parties de mon corps. Mais vous ne pouvez pas m’aimer, vous ne savez pas ce que c’est que l’amour ! Vous ne savez pas qui je suis , ce que j’ai vécu ! »
    
    Elle monta alors l’escalier et claqua la porte de sa chambre.
    
    J’étais enfoncé dans ce satané fauteuil à ne plus pouvoir bouger , déstabilisé encore par une réaction que je n’avais pas prévu.
    
    Au bout ...
    ... d’un instant , je me décidais enfin à réagir, j’allais me lever pour la rejoindre, quand je l’entendis rouvrir sa porte et descendre l’escalier.
    
    Elle vint s’asseoir en face de moi, visiblement apaisée.
    
    — « Excusez-moi, pardonnez-moi, vous n’êtes pas responsable de ce que j’ai vécu.»
    
    C’est alors que je constatais qu’elle avait totalement refermé la veste de son tailleur. Elle me regardais maintenant de ses beaux yeux clairs, d’un air calme et doux. J’étais terriblement troublé.
    
    — « Dis-moi, tu as envie de les voir ? »
    
    Un sourire léger s’était dessiné sur ses lèvres. Et l’étincelle de son regard témoignait que je n’avais pas mal entendu. C’était de plus la première fois qu’elle me tutoyait.
    
    — « Je t’ai vu plusieurs fois chercher à les deviner sous mes vêtements avec insistance. Ce soir je veux bien te les montrer, mais en échange je veux que tu me donnes du plaisir sans partage, comme je t’ai donné du plaisir l’autre soir. Je vais juste te les montrer, je ne veux pas que tu y touches. Pas ce soir. Après nous irons dans ma chambre dans le noir. Je veux que tu m’embrasses sous ma jupe. »
    
    Doucement, elle a déboutonné sa veste. À chaque étape elle me dévoilait davantage sa profonde vallée et ses fiers mamelons. Sa peau diaphane laissait entrevoir le dessin léger de quelques veines d’un bleu à peine esquissé. Sa poitrine généreuse et légèrement tombante, souple comme le sont celles des femmes mûres, offrait à ma vue de ravissants contours en forme de poire. À ...
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