Trois jours près d'elle
Datte: 27/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
Première fois
Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster
Trois jours près d’elle
J’étais arrivé en fin de matinée ce jour-là chez mon ami. Il m’invitait à passer le week-end, chez lui, et me conviait à un accueil confortable dans une vaste demeure XIXe , pour nous adonner à l’une de ses passions, l’équitation.
Ce garçon réservé et sensible que j’avais appris à apprécier, lors des cours d’histoire que nous partagions à l’université, m’avait avoué qu’il était très rare qu’il invite quelqu’un chez lui.
Il avait une relation très forte mais aussi compliqué avec sa mère, avec qui il vivait seul.
Son père les avait quittés pour la jeune étudiante qui le gardait le soir alors qu’il avait dix ans.
Il avait été traumatisé pour avoir surpris ce dernier dans une position sans équivoque avec celle qui allait être encore quelques temps sa jeune fille au pair.
Sous la menace, il avait bien sûr juré de ne rien dire à sa mère, et c’était montré ainsi complice de cette relation adultère, qui s’accomplissait régulièrement à la porte de sa chambre . Il devait ainsi pendant de longs mois entendre la porte du salon s’ouvrir alors qu’il était forcé à la sieste , puis ces mêmes rires étouffés et enfin ces soupirs et ces petits cris aigus qui raisonnaient dans sa tête assourdissants et qui faisaient revenir obsédantes les images de la jeune fille et de son père entièrement nus…
Lorsqu’ils étaient partis , sa mère qui avait appris les circonstances de la relation, lui en avait voulu.
Aujourd’hui encore, il se sentait responsable ...
... de ce qui était arrivé. Et celle-ci faisait jouer sur lui une sorte de chantage affectif. Dès qu’il exprimait la volonté de faire une activité indépendante d’elle, alors qu’il venait comme moi d’avoir vingt ans, celle-ci cherchait à le culpabiliser en lui reprochant de vouloir l’abandonner lui aussi…
En arrivant donc ce matin là , à vélo devant la porte de la grande maison, j’avais des raisons d’être intimidé. Florient avait insisté sur le fait qu’il était rarissime qu’il accueille quelqu’un chez lui. Il m’avait répété également plusieurs fois qu’il ne fallait pas que je me formalise de l’attitude souvent imprévisible de sa mère et de l’éventualité d’un accueil glacial de sa part.
Lorsque la porte s’ouvrit ,avant même que ne m’apparaisse sa silhouette et son visage, mes sens étaient enveloppés de cette odeur à la fois puissante et raffinée que je devais toujours associer à sa présence. Pendant quelques secondes, c’était comme si je ne la voyais pas.
Je montais quelques marches, pour me retrouver à sa hauteur.
Une silhouette sombre et longiligne me faisait face. Elle était presque aussi grande que moi.
Je fus surpris en effet par l’accueil.
Elle m’offrit la beauté d’un doux visage au teint clair, éclairé encore par un sourire chaleureux.
En m’invitant à entrer, comme emporté par son effluve, je découvrais les formes élancées et féminine de mon hôtesse , enveloppée d’une robe satinée d’une grande sobriété, fendue sur le côté jusqu’à mi-cuisse, découvrant la ...