Trois jours près d'elle
Datte: 27/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
Première fois
Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster
... peau somptueuse et blanche de longues jambes fines et musclées.
Elle m’accompagna alors à la chambre de Florient et j’eu le plaisir d’observer à porté de mon regard le dessin de ses fesses moulées par le tissus luisant, alors qu’elle continuait à me parler de sa voix chaude de choses insignifiantes…
Elle faisait au moins l’effort d’être avenante, ce à quoi je ne m’attendais pas.
Florient me dis, presque aussitôt qu’elle fut partie, que je devais être dans un bon jour, mais qu’il ne fallait pas s’y fier…
Après nous avons joué avec ses logiciels, et sommes partis faire une balade à cheval.
Ce n’est que le soir au repas que je l’ai revue.
Elle était déjà moins souriante.
Quelque chose d’indéfinissable me mettait mal à l’aise . En fait je me rendis compte que j’avais une envie folle de faire l’amour avec cette femme. Son apparence était maintenant plus secrète et mystérieuse. Mon désir était sauvage, irraisonné. Je l’attribuais en partie à ce que je savais d’elle, sans pourtant la connaître. Elle était belle sans doute, mais peut-être ne l’aurais-je pas remarquée dans la rue.
Ici et ce soir-là , la beauté radieuse qu’elle offrait à ma vue, et le désir violent que j’avais pour elle s’imposaient à moi d’évidence. J’étais totalement sous le charme.
Je m’étais masturbé lentement le soir venu, à peine couché sur le dos dans la chambre attenante à celle de Florient. Mais le sommeil m’avait rattrapé avant que je ne m’extirpe de mes douces rêveries.
Une ...
... douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit.
La sensation et le souvenir d’enfance se télescopaient.
Il me semblait avoir à nouveau dix ans, et me réveiller comme lors des nuits d’angoisse, tour à tour apaisé et anxieux, me détachant lentement d’un rêve délicieux, pour sentir la réalité confuse émerger. Celle de l’odeur et de la chaleur de mon urine entre mes cuisses.
Pourtant mon réveil n’était pas achevé, et la sensation était différente. Sur le haut de mes jambes aucun liquide ne coulait tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau.
L’odeur qui me fit sursauter, n’était pas celle de mon urine bien que mon sexe me semble comme immergé dans un liquide épais , presque brûlant. Cette odeur c’était celle qui m’avait presqu’ennivré le matin même .
Le parfum capiteux de la mère de Florient flottait dans l’espace de la chambre. C’était comme une présence invisible. Je me disais qu’elle était là. Un instant je crus deviner sa silhouette debout face à moi. Mais rapidement mes yeux habitués à l’obscurité balayaient l’espace de la pièce pour me ramener à l’évidence que j’étais seul.
Son odeur témoignait pourtant de son passage, et cette seule idée décupla mon excitation.
Epuisé, je me sentais à peine glisser vers le sommeil, le sourire au lèvres, m’abandonnant à l’idée qu’elle était venue m’observer alors que je dormais. C’est le souvenir de son apparition le matin même, qui ...