Trois jours près d'elle
Datte: 27/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
Première fois
Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster
... l’extrémité de larges aréoles sombres et des tétons pointus accentuaient l’impression de ces fruits succulents qui semblaient à point pour se loger entre les lèvres gourmandes d’un homme.
Elle m’offrit à l’envie, tout en me servant un café accompagné de chocolats noirs, la vision de ses tétines balottants souplement à chacun de ses gestes. Il faisait chaud, et quelques gouttes de sueur perlaient entre ses seins.
Puis elle s’assit bien en face de moi , adossée au canapé. Sa poitrine était majestueuse, et alors qu’elle me parlait de ce qui lui plaisait chez moi ( je l’écoutais à peine), j’avais l’impression que les deux pointes dressées en ma direction étaient comme une deuxième paire d’yeux qui me regardaient fixement.
En même temps je devinais sous la jupe serrée qui remontait à mi-cuisse, cet autre fruit qui s’offrirait bientôt au contact de ma bouche.
Des porte-jarretelles soutenaient des bas clairs, proches de la couleur de sa peau.
Elle posa ses pieds sur le rebord de la table basse qui nous séparait et écarta ses longues et superbes jambes de façon impudique.
La lumière du lustre projetait des reflets entre ses cuisses tout près de sa culotte, ce qui trahissait encore la moiteur de sa chair.
C’était une culotte blanche, transparente qui recouvrait parfaitement le triangle étroit et sombre de sa toison.
Elle rajusta ses chaussures à talons hauts et me dit seulement, alors qu’elle se dirigeait vers l’escalier : « Rejoins-moi dans cinq minutes ! ...
... ».
Le temps me parut interminable.
Je montai bientôt l’escalier fébrilement. Dans l’obscurité de sa chambre, une fois encore, seule son odeur m’assurait de sa présence. Il me fallut un certain temps avant de distinguer l’endroit où elle m’attendait.
Elle était debout adossée à l’un des murs près de la fenêtre. Ses jambes étaient tendues, légèrement écartées, ses hauts talons fermement plaqués au sol. Elle s’était à nouveau habillée de son tailleur cintré qui la rendait terriblement désirable.
C’est alors qu’elle me chuchota, alors que je m’approchais d’elle. «Viens blottir ton beau visage de garçon sous ma jupe, occupe toi de ma chatte, je veux jouir sous les caresses de ta bouche . Je veux que tu ne t’occupe de rien d’autre que de ce qui est sous ma jupe.. Viens, je suis toute mouillée.»
Je tombais à ses genoux d’une façon un peu ridicule .
Déjà je lovais mon visage dans l’obscurité plus profonde encore de son entrecuisse. La puissance de son odeur, sorte de mélange divin de liquide de jouissance, de sueur et d’urine, m’enivrait littéralement.
J’effleurais lentement de mes mains les abords de son sexe tout en approchant plus doucement encore ma bouche de l’étoffe transparente qui recouvrait son duvet intime. À l’instant où ma bouche atteignait le tissus , elle poussa un petit cri délicieux. De légers soupirs accompagnaient les mouvements de ma langue le long des lèvres de son sexe.
J’empoignais bientôt à pleines mains ses globes fessiers fermes et souples ...