1. Le poids de la solitude


    Datte: 23/11/2020, Catégories: fhhh, couplus, nympho, grossexe, grosseins, groscul, collection, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, Partouze / Groupe portrait, Auteur: Alcibiade, Source: Revebebe

    ... lueur des cierges, on aurait dit qu’il extrayait quelque monstre luisant du ventre féminin. Puis, l’air faussement détaché, soutenant modestement une bonne vingtaine de regards envieux, hargneux, moroses, le beau gosse s’empara d’un linge et se mit à posément essuyer son phénomène, toujours à l’horizontale, encore plein de force.
    
    Béatrice Antoine demeurait vautrée sur ses coussins, geignant son émoi ; le détective qui, entre excitation et timidité tergiversait depuis une bonne demi-heure, profita de cet instant de flottement pour se jeter à l’eau, abandonnant son pantalon et baissant son slip, s’agenouillant devant les rondeurs joufflues. Mais quand elle le sentit elle se déroba et le repoussa de la main vers l’arrière :
    
    — Non, non !
    
    Max se demanda ce qu’il avait fait de tordu. Son voisin lui souffla :
    
    — Quand elle a joui, elle veut un petit moment pour elle. Attends, elle te dira, ajouta-t-il avec une moue de connivence.
    
    Max attendit donc en s’astiquant la queue, comme tous les autres, pour entretenir son érection, dans une espèce de silence recueilli. Il se concentra sur le spectacle de la fente humide et dévastée, émergeant à la jonction des fortes cuisses et des bonnes grosses fesses à la chair douce et tendre. Au bout de deux ou trois minutes qui lui avaient paru une éternité, elle avait simplement dit d’une petite voix :
    
    — Viens !
    
    Il ne pensait pas qu’elle était aussi ouverte. Lorsqu’il s’enfonça, il fut totalement pris au dépourvu par l’aisance ...
    ... de la pénétration ; mais en ayant sous les yeux le spectacle de toute cette chair tendre qui vibrait et roulait sous ses coups de boutoir, il s’émut plus que de raison. Il ne tenta pas de durer ; de toute façon, dans l’état où l’autre l’avait mise, pas la peine de chercher à lui faire quoi que ce soit ! Crispant ses mains autour de la taille étonnamment étranglée, l’œil mesurant toute la majestueuse ampleur des hanches et goûtant la houle qui animait la chair des fesses rebondies, il suivit son rythme et explosa bientôt dans la moelleuse chaleur du ventre de Béatrice Antoine.
    
    Avait-elle eu seulement conscience de sa présence en elle ? Sans doute, puisqu’elle gémit lorsqu’il se retira… Elle fut bien vite consolée : à peine avait-il eu le temps de se relever que déjà elle était prise, six ou huit prétendants astiquant leurs engins à proximité. Lorsqu’il s’éloigna, elle ronronnait à nouveau, femelle indomptable !
    
    Elle était sur le dos quand le dernier des soupirants se leva, asséché de ses dernières réserves. Elle replia le bras sur son visage mais ne fit plus un geste, éreintée, les seins en émoi, le ventre palpitant, les cheveux collés par la sueur, l’entrejambe comme ravagé et enflé, luisant de mouille dans la pénombre, tandis que des bleus commençaient à apparaître sur la pâleur des gros seins charnus, moins causés par l’indélicatesse des mains masculines que par leur frénésie…
    
    Au cours des opérations elle avait constamment manifesté son ravissement, mais de manière ...
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