Les émois de Corinne - Prologue
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
f,
ff,
fagée,
inconnu,
forêt,
Oral
attache,
merveilleu,
contes,
merveille,
Auteur: Polyphème, Source: Revebebe
... longtemps…
Elle approcha son visage de celui de Corinne.
— As-tu envie de moi ?
— Ce n’est pas la question, je ne suis pas… pas du tout… comme ça…
— Viens te baigner.
Corinne hésitait. La jeune fille la prit par la main.
— Viens te baigner. Nous ferons l’amour après.
Corinne sourit.
— Vous êtes incroyable… Et pourquoi devrais-je vous écouter ?
— Tu n’en as pas envie ?
Corinne ne put pas répondre. Elle secoua la tête en riant et prit la main de la fille qui l’entraîna dans le ruisseau… Lorsqu’elles eurent de l’eau à mi-cuisses, elle la lâcha et se mit à l’éclabousser jusqu’à ce qu’elle réagisse et se mette à son tour à lui envoyer de grands paquets d’eau en riant comme une gamine. Elles passèrent un long moment à nager et à batifoler dans l’eau jusqu’à ce que la jeune fille se décide à sortir et s’allonge dans l’herbe, au soleil, immédiatement imitée par Corinne. La fille se tourna vers elle et caressa ses seins en flattant ses tétons érigés. Corinne protesta mollement.
— Mais je vous ai dit que…
La fille l’interrompit sans cesser sa caresse.
— C’est vrai, tu as même été mariée et ton mari te faisait l’amour. Régulièrement. Deux fois par mois. Il était très vigoureux et tu aimais d’autant ses étreintes qu’il ne négligeait pas les préliminaires – en tous cas, au début… Mais il était souvent absent, et tu avais besoin de tendresse… Alors il y a eu ton extravagante voisine, la belle et brune Rosa : elle était un peu plus âgée et tout aussi ...
... mariée que toi : peu à peu tu y as pris goût… Et tu y as pris d’autant plus goût que quand bien même il n’était plus guère question de baisers ou de caresses avec ton homme, il n’était pas question que tu refuses d’ouvrir les cuisses… Et puis vous avez déménagé, et puis il y a eu cette Sylvie, si blonde et si voluptueuse. Et puis Morien, Fabienne, Anne… Tu n’as pas besoin des hommes.
— Comment savez-vous tout cela ? l’interrompit Corinne en rougissant violemment.
— Parce que je connais tes rêves, Corinne. Parce que tes rêves me touchent et me séduisent. Parce que je veux que, dans tes rêves tu murmures d’abord mon nom : Lysandra…
— Oh, Lysandra, embrasse-moi encore…
Lysandra s’exécuta et l’embrassa goulûment, impudiquement, bien décidée à ne pas perdre un seul instant.
Ne quittant pas sa bouche, elle promenait ses mains sur le corps de la brunette qui ondulait de plaisir, soupesant ses seins, les massant, les pétrissant, pinçant leurs pointes durcies et tirant dessus sans ménagement jusqu’à provoquer des protestations tendrement indignées par l’insupportable volupté… Puis, délaissant sa bouche, elle embrassa les tétons dressés qu’elle aspira longuement en les suçant et les mordillant, les coinçant entre sa langue et ses dents. Le corps parcouru de frissons, Corinne se laissait faire et s’abandonnait aux baisers et aux caresses de son étrange amante, prête à tout pour la satisfaire…
Lysandra s’agenouilla alors devant Corinne et commença à s’occuper véritablement de la ...