Les émois de Corinne - Prologue
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
f,
ff,
fagée,
inconnu,
forêt,
Oral
attache,
merveilleu,
contes,
merveille,
Auteur: Polyphème, Source: Revebebe
... là… Corinne prit alors le temps de mieux regarder son interlocutrice. C’était une jeune femme d’une vingtaine d’années aux cheveux blonds coupés court qui étaient presque blancs, aux yeux d’un bleu très clair. Sa tunique également trempée était plus légère que sa robe, et dessinait des formes à la fois plus graciles et plus voluptueuses que les siennes – le tissu ocre était orné de motifs foncés cerclés de blanc et d’une ligne de points orange qui lui faisait une seconde peau qui ne cachait rien de sa toison claire, peu fournie ni de ses seins en pomme dont les tétons roses pointaient innocemment…
— Tu devrais faire sécher ta robe, suggéra-t-elle.
Corinne était sous le charme, mais le merveilleux de la situation ne lui faisait pas pour autant totalement perdre le sens des réalités et lorsque la jeune femme fit glisser une bretelle, elle protesta mollement.
— Je ne sais pas si je peux…
— Tu préfères la garder ?
Elle fit glisser la seconde bretelle. La robe mouillée collait d’elle-même à ses formes.
— Mais je vais être toute nue !
— Moi aussi…
Joignant le geste à la parole, elle retira sa tunique et l’accrocha à une branche. Corinne sentait sa volonté s’évanouir. Se glissant derrière un bosquet, elle imita la jeune fille mais, mue par un instinct de pudeur, de ses mains et de ses bras, elle masqua tant bien que mal son intimité et sa poitrine, provoquant le rire de la belle tentatrice.
— Allons, viens te baigner.
Elle lui tira doucement les mains ...
... pour les lui coller le long du corps.
— Pourquoi vouloir dissimuler de pareils trésors ?
— Mais qu’est-ce que vous voulez de moi à la fin ?
Passée derrière son dos, elle soupesa ses seins avant de jouer un instant avec les pointes, érigées par le froid… Corinne tenta mollement de se dérober mais l’insistance de la jeune femme eut raison de sa retenue : elle ferma les yeux et eut un soupir appuyé.
— Tu ne devines pas ?
— Nous ne nous connaissons pas… Vous êtes folle !
Sans un mot, elle abandonna sa caresse mammaire et descendit les mains jusqu’à son ventre qu’elle entreprit de masser doucement et, passant ses doigts dans sa toison, elle introduisit le majeur dans sa vulve jusqu’à en sentir l’humidité poisseuse, chaude et glissante – Corinne écarquilla les yeux, rougit violemment et bredouilla sans conviction…
— Et qu’est-ce qui vous fait croire que j’en ai envie ?
L’inconnue sourit gentiment mais ne retira pas pour autant sa main indolemment ancrée dans son intimité…
— Corinne, Corinne, pourquoi nier l’évidence ?
Son doigt remuait doucement… Corinne ne se dégageait pour autant – la sensation était si agréable… Alors la fille l’embrassa à pleine bouche. Corinne ferma les yeux. Le baiser lui semblait ne jamais devoir s’achever… Reprenant son souffle, elle tenta de jouer l’effarouchée.
— Si quelqu’un venait ? Si on nous voyait ?
— Personne ne peut nous voir, Corinne…
— Mais comment connaissez-vous mon nom ?
— Je te connais et tu me connais depuis ...