Les émois de Corinne - Prologue
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
f,
ff,
fagée,
inconnu,
forêt,
Oral
attache,
merveilleu,
contes,
merveille,
Auteur: Polyphème, Source: Revebebe
... bafouilla-t-elle.
Elle était véritablement éblouissante de sensualité. Son décolleté luisait de fines gouttes de sueur et les pointes de ses seins gonflés affleuraient sous la double épaisseur de sa robe et de son soutien-gorge…
— Tu veux rester toute seule ? répéta la fille.
Et en même temps, elle la prit dans ses bras et se mit à la cajoler… Corinne ne savait trop que dire.
— Je vais… partir, se justifia-t-elle mollement.
— Tu as tout ton temps, répondit la jeune fille.
Et avant que Corinne ait l’envie ou le temps de protester, elle souleva sa robe pour lui flatter le dos et les fesses, le ventre et le bas-ventre. Corinne ne résista pas lorsque des doigts mutins firent glisser sa culotte le long de ses jambes et dégrafèrent son soutien-gorge qu’elles lui retirèrent avec l’agilité d’un prestidigitateur. En riant, elle brandit les deux trophées de dentelles blanche et Corinne rit avec elle, éberluée et heureuse du tour qu’on lui avait joué, et sensuellement troublée d’être ainsi nue sous sa robe… Ses tétons bruns saillaient sous le tissu pourtant épais et elle tentait d’y mettre bon ordre quand la fille, toujours dans la bonne humeur, la prit par la main pour descendre la pente en courant. La cordelette qui, primitivement maintenait son décolleté dans la sagesse et la retenue était maintenant totalement distendue – ses seins libérés semblaient prêts à s’échapper… En fait, sa tenue lui faisait irrésistiblement penser à celle d’une servante d’auberge peu ...
... farouche – comme dans ces productions costumées qu’elle goûtait tout particulièrement. Et puis, pour elle qui adorait la scène, c’était un plaisir non dissimulé de jouer ce rôle écrit pour elle…
Corinne voulut prendre ses affaires, mais l’autre, la poussant et la tirant, l’entraîna à la rivière pour rejoindre l’autre rive avec elle. Bien sûr, elle ne manqua pas de trébucher et piqua une tête dans l’eau qui curieusement lui semblait maintenant d’une douceur idéale ; ceci provoqua les rires de sa nouvelle amie. Elle reprit pied et, arrivée à l’autre rive, ne put que constater l’étendue des dégâts. Ses seins étaient certes sagement restés dans son décolleté, mais sa robe trempée qui collait à ses formes la déshabillait intégralement… Sans se soucier de la tournure que prenaient les événements, elle allait protester quand elle prit conscience de la splendeur et de la singularité de l’endroit. La rive était bordée de larges pierres plates qui dominaient un petit bassin. Celui-ci, alimenté par une cascade dissimulée derrière un gros rocher moussu était en léger surplomb du ruisseau, mais son eau se déversait discrètement derrière un rideau de roseaux. Au bord du bassin s’étalait une petite clairière inondée de soleil.
— C’est merveilleux ! chuchota Corinne, sans véritablement faire de différence entre la beauté du site, et la magie de sa propre aventure.
Elles firent quelques pas et se retrouvèrent dans l’herbe douce et verte, constellée de fleurs blanches qui poussaient çà et ...