1. Les émois de Corinne - Prologue


    Datte: 25/04/2018, Catégories: f, ff, fagée, inconnu, forêt, Oral attache, merveilleu, contes, merveille, Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... léger contact sur la chair si tendre et sensible, et, de plus en plus troublée par cette caresse impudique, se sentit envahie de désirs moins délicats. Le sentiment qui venait de naître en elle croissait à une vitesse et dans des proportions qu’elle n’aurait imaginées… Elle chassa le papillon et se tordit pour prendre le galet dans son sac : elle constata avec confusion que sa forme était encore plus suggestive qu’elle ne l’avait pensé. Elle le saisit à deux mains et le caressa machinalement, ce qui la troubla profondément. Elle se releva, s’étira et comme saisie d’une flamboyante exaltation, se mit à danser, avec une impudeur naïve et innocente, assurée de l’inviolabilité de son refuge qu’elle utilisa comme une scène de théâtre, jouant avec les rochers et les arbres, sans se séparer du galet qui lui semblait maintenant presque vivant… Elle songea brièvement à son rendez-vous manqué puis ses pensées se tournèrent de nouveau vers les deux filles, s’interrogeant sur ce qu’elles pouvaient être, ce qu’elles faisaient ici et où elles étaient finalement parties. Elle songea avec émotion que vraiment, elle aimerait les revoir.
    
    Il y eut un craquement. Et si elles étaient encore là ? Confuse, elle remit prestement le sexe de pierre dans le sac et se rhabilla. Tout le bas de sa robe était encore humide.
    
    **********
    
    Elle s’était levée quand le papillon revint à la rescousse et tenta de se glisser sous sa robe. « Eh, tu t’accroches ! » chuchota-t-elle en souriant… « Tu ...
    ... sais bien que ce n’est pas possible entre nous… » Elle secoua sa robe et remua les jambes mais l’insecte ne voulait pas partir. En désespoir de cause, elle retroussa sa robe et s’agenouilla. Le papillon chatouillait sa cuisse et il semblait insister pour qu’elle s’ouvre de nouveau. Elle soupira et écarta les cuisses. Son regard tomba sur son sac qu’elle avait posé devant elle et sur le galet qui en était sorti. De nouveau, elle regarda autour d’elle : l’endroit était désert et, camouflée comme elle l’était par la végétation, personne ne pouvait la voir… Le papillon s’envola.
    
    Elle bloqua le galet à peu près à la verticale dans la mousse et, à genoux, troussée jusqu’à la taille, elle y appuya sa vulve en ondulant silencieusement : à travers la légère étoffe de son slip, elle frottait son clitoris contre la pierre de plus en plus lascivement. De temps en temps, elle se redressait légèrement et l’olisbos improvisé semblait vouloir glisser pour la pénétrer de lui-même.Les inconnues avaient envahi toutes ses pensées – elle se sentait en communion avec elles, elle imaginait leurs vulves qui s’unissaient, se mêlaient, leurs lèvres qui fusionnaient… Elle ferma les yeux et soupira en tremblant quand une voix la tira de son extase.
    
    — Tu veux rester toute seule ?
    
    Une des deux filles était là, debout, et lui souriait adorablement. Confuse, Corinne se releva en ramenant sa robe sur ses cuisses… Le galet roula, luisant de son plaisir…
    
    — Je… Je ne savais pas que vous étiez là, ...
«12...456...11»