1. Les émois de Corinne - Prologue


    Datte: 25/04/2018, Catégories: f, ff, fagée, inconnu, forêt, Oral attache, merveilleu, contes, merveille, Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... décliner. Elle ne savait pas trop comment reprendre la conversation que Lysandra avait immédiatement détournée vers des préoccupations plus sensuelles – et à dire vrai, elle n’était pas sûre d’en avoir véritablement envie… Apercevant la jeune femme, elle se tourna vers elle dans un mouvement gracieux et, surprise, constata que ses liens végétaux s’étaient instantanément desserrés… Elle s’assit dans l’herbe.
    
    — C’est curieux, tout à l’heure, j’avais l’impression de ne pas pouvoir me défaire de ce liseron et maintenant, il vient tout seul…
    — Peut-être que simplement, étais-tu excitée à l’idée d’être ainsi exposée et que tu n’avais nulle envie de te libérer…
    — Oui, sûrement… En fait, je n’ai jamais essayé ça – ni avec des plantes, ni avec des cordes, d’ailleurs…
    
    Et elle soupira en contemplant une nouvelle fois le ciel :
    
    — Il va bientôt falloir rentrer…
    
    Lysandra lui mit un doigt sur la bouche.
    
    — Pas tout de suite, ma belle… Je n’ai pas dit mon dernier mot… Lève-toi !
    
    Corinne eut un sourire coquin et, obtempérant, se releva et se dégourdit les jambes et les bras en un déhanchement gracieux. Lysandra ramassa de nouveau quelques liserons et en tissa un long filin.
    
    — Qu’est-ce t’vas encore inventer, minauda Corinne.
    
    Lysandra lui entoura la taille de la ceinture végétale qu’elle serra en un lien assez lâche ; elle prit alors la plus longue des extrémités de la cordelette et, la lui passant entre les cuisses, la tendit jusqu’à la faire disparaître entre ses ...
    ... fesses et réapparaître dans sa toison pour rejoindre la taille en un lien à la fois souple et tendu. Surprise, Corinne eut un petit cri de plaisir et sourit à son amante qui, ne voulant manifestement pas en rester là, non seulement lui ligota la poitrine mais noua une tige de liseron autour des tétons dressés, ce qui provoqua un nouveau soupir de la belle captive. Pour finir, elle lui attacha les mains dans le dos.
    
    — Retournons sur l’autre rive.
    — Tout ce que tu veux !
    — Non. Tout ce que toi, tu veux… Et je crois savoir ce dont tu as envie maintenant…
    
    Lysandra tira un coup bref sur la longue lanière végétale, et elles traversèrent la rivière. Puis elles escaladèrent le promontoire d’où Lysandra avait plongé et où Corinne s’était assoupie. Aidant sa captive à s’agenouiller, Lysandra lui entrava ensemble les chevilles et les avant-bras, la maintenant dans une position objectivement indécente et pourtant étonnamment élégante, les fesses en l’air, les cuisses entrouvertes, la vulve offerte. Lysandra joua un moment avec la liane verte qui séparait les deux globes charnus de ses fesses blanches : le frottement contre son clitoris eut tôt fait de faire monter son excitation… Corinne s’attendait à jouir de nouveau quand Lysandra interrompit son œuvre et, se relevant, fit le tour de son amante entravée.
    
    — Tu sais que tu es absolument adorable dans cette position.
    — Que vas-tu me faire ?
    — Si j’étais un faune, je te prendrais ici, tout de suite… D’ailleurs, je suis sûre ...
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