1. Abélia, ou l'impudeur


    Datte: 24/04/2018, Catégories: f, fh, ff, 2couples, jeunes, cadeau, copains, cinéma, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral 69, hsodo, Partouze / Groupe init, confession, nostalgie, Auteur: Silène, Source: Revebebe

    ... au rouge orangé. De notre table, nous voyions quelques couples s’enlacer, tout près du bar, tandis que d’autres étudiantes se dandinaient sur un air rétro. Nos croisâmes le regard de deux ou trois garçons ; je constatai, satisfaite, qu’Abélia semblait tout aussi indifférente que moi à leurs hommages maladroits. Troublée par l’alcool, je me plaçai sur la banquette, à sa droite, tout près d’elle. Sur fond d’unI’m not in love certainement pas dénué d’ironie, je passai ma main dans ses cheveux et lui fit l’un de ces regards qui appellent les baisers, la chaleur et le sexe. « Un regard de chienne », me dit-elle non sans un certain humour, tandis que sa main droite remontait lentement le sillon de mes reins. J’observai son beau profil, la ligne claire de seins, cette cambrure que l’alcool en rien n’affaissait ; lentement, je me laissais partir.
    
    — Hum, on pourrait faire quelque chose de spécial, ajouta Abélia.
    — Spécial ? dis-je, en posant brusquement mon verre de mojito.
    — Oui, ma puce, spécial… on trouvera rien ici, de toute façon.
    — Ça, c’est sûr, répondis-je sans trop savoir, en vérité, ce qu’Abélia entendait par « spécial ».
    
    Je ne pouvais rester qu’évasive. Sa main en effet était de nouveau passée sous ma jupe. Elle me massait discrètement le cul, cherchant de ses doigts, une fois remontée la dentelle, une fois l’une de mes fesses discrètement découverte, l’intimité de mon sillon. Elle se mit contre moi, et m’embrassait longuement le cou, les épaules, les bras. De ...
    ... nouveau l’excitation me montait. Celle-ci, conjuguée à l’alcool, me tournait la tête.
    
    — Aurore, cambre-toi bien…
    — Abélia… implorai-je, m’exécutant tout de même, le rouge aux joues.
    — Fais-moi plaisir, mets tes nichons bien en avant, lève un tout petit peu les fesses, s’il te plaît…
    — Abélia… tu es folle, on va nous voir, dis-je, tourmentée.
    
    Après un « et alors ? », son majeur eut enfin plein accès à l’objet de sa recherche. Tandis qu’elle sirotait avec un détachement remarquable son cocktail, cette diablesse, une main bien installée dans mes jupons, ne s’était pas contentée de fouiller ma petite chatte, humidifiant copieusement au passage la fine extrémité de ses doigts. À sa demande, je m’étais si bien cambrée que ma moule couverte qu’à demi s’était trouvée soudainement solidaire du cuir de la banquette, mon anus se rendant accessible à ses hommages – je devais apprendre plus tard dans la soirée que, depuis le fameux moment passé dans la salle de bain, elle rêvait déjà de s’occuper minutieusement de mon œillet. En vérité, après avoir saisi mon cul à pleine main, Abélia ne fit qu’imprimer un léger mouvement de pression, du majeur, sur mon petit trou, sans chercher plus que cela à le pénétrer, à moins que dans une position somme toute peu confortable elle n’y parvînt tout simplement pas.
    
    — Arrête, on va nous voir, dis-je dans un souffle.
    — Avec tous les frous-frous de ta robe, ça m’étonnerait… Et, puis, ce n’est qu’une petite main au cul ! Hum, tu es vierge de par ...
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