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La Gestionnaire (25)
Datte: 15/11/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... je n’ai jamais reçue. Je n’en peux plus. Je sens ma peau cuire, se boursoufler. Les coups sont espacés. J’ai donc le temps de me préparer à cette nouvelle brûlure. Je pleure à chaudes larmes. J’ai mal aux mâchoires. Mes dents me font souffrir, car le plastique du bâillon est dur. Mais une chose m’inquiète beaucoup plus que tous ces coups. Mon sexe, ma chatte me trahit. Elle bave ma mouille. Je coule, je me liquéfie de mon jus intime. Les coups cessent. Je respire plus facilement. On me libère les chevilles. Je suis retournée comme une crêpe et positionnée sur le dos immédiatement. Mes bras me font mal dans mon dos. Mes deux bourreaux sont face à moi. Mais ils sont en contre-jour. Je ne vois que leurs ombres chinoises. Les ceintures sont levées. Les coups pleuvent de nouveau. C’est mon sexe qui est visé. La douleur est indescriptible, sèche cuisante. Les coups sont appliqués régulièrement, avec une force raisonnée. Mon sexe s’étiole. La chaleur du coup sur mes lèvres me bouleverse. Mon clitoris est sorti de son capuchon par l’excitation. Il se darde en haut de ma blessure intime. Il n’est pas épargné et il reçoit lui aussi des fouettées. Le résultat est immédiat. Un orgasme foudroyant m’anéantit. Je jouis pendant un temps très long. Je m’écroule sur le tabouret. On me libère. J’ai les yeux fermés. Je ne sais pas qui m’aide à me relever. John va vers la porte et heurte le panneau. Mon guide revient dans la salle. — Tout s’est bien passé, Messieurs ? — Très bien, vous ...
... remercierez votre patron pour nous... au revoir ! Je suis prise par le bras. Mes mains sont toujours menottées dans mon dos. Nous sortons par une porte dérobée. La voiture est là. Je demande mes vêtements. — Tu as les tiens à l’usine désaffectée... Nous remontons en voiture. Nous roulons dans la nuit. Quelques dizaines de minutes et nous entrons dans le parking de l’usine. Il s’arrête à côté de ma voiture. Il m’interroge : — Tu les as sucés ? — Un peu seulement. ... — Ils se sont vidés dans ta bouche ? — Non, je les ai seulement sucés ... Il se tourne vers moi. Il ouvre sa braguette et libère son sexe. — A mon tour... Je me penche sur son bas-ventre. Il a un véritable pieu à la place de la bite. Très grosse et très longue, avec une énorme veine qui court tout le long. J’ai les plus grandes difficultés à enfourner cet engin dans ma bouche. Sa queue me fascine. Je prends sa queue en bouche. J’enfonce le sexe profond dans ma bouche, le ressors pour titiller le gland de la langue, lécher le long de la hampe dressée. Je lèche ses couilles durcies par le désir, pour reprendre en bouche et recommencer la fellation... — Oui, suce-moi bien... Il jouit alors quasi instantanément un sperme très épais, en si grande quantité que je ne pus tout avaler !! Ses dernières giclées atterrirent sur mon menton et glissèrent sur mes seins. Je le nettoie. Il remballe sa marchandise. Et me jette : — Aller fout le camp ! — Mais mes vêtements ? — Maître FX ...