1. La Gestionnaire (25)


    Datte: 15/11/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... jets en poussant chaque jet plus loin dans mon ventre.
    
    — Putain ! Qu’est-ce que tu es bonne !
    
    Il jette son préservatif au sol. Je reste pliée sur l’assise du tabouret, hagarde, essoufflée béate de plaisir et de bonheur. Les deux hommes vont à leur table. Ils se servent une flûte de champagne. Recroquevillée sur le tapis, je récupère un peu de mes orgasmes successifs. Jack revient près de moi. Il me relève et me penche sur le tabouret. Mes mains sont rapprochées dans mon dos et une sensation de froid autour des poignets me fait frissonner. Ce sont des menottes que Jack vient de me poser. J’essaie de me redresser. Il me pince le nez. Je cherche ma respiration. Il en profite pour introduire entre les dents, un bâillon constitué une grosse boule en matière plastique noire, pourvue de lanières en cuir. Il l’ajuste parfaitement, soulève mes cheveux tombants, puis boucle les lanières derrière ma nuque. Je peux ainsi respirer et émettre des sons mais il m’est impossible de parler. Il me ligote les chevilles aux pieds du tabouret. Il me prévient :
    
    — Si tu bouges de trop, ton équilibre va être compromis et tu risques de tomber... Alors je te conseille de ne plus remuer...
    
    Je tourne la tête et lui jette un regard méchant. Il sourit et me jette:
    
    — Tu es bien installée ?
    
    Je grogne des paroles inintelligibles.
    
    — Comme tu es bien, je continue...
    
    Un bruit de coulisse, puis un deuxième me surprennent. Je ne vois rien. C’est dans mon dos que cela se passe. Je sursaute ! ...
    ... Le premier coup vient de claquer bruyamment sur mes fesses exposées. Je laisse échapper un cri. Je grogne. John me donne des renseignements :
    
    — Comme nous te l’avons dit il y a quelques instants, ta conduite mérite une correction. Nous allons te dresser, à la ceinture de cuir, c’est tout ce que nous avons sous la main...
    
    Le coup a été appliqué avec force. La sensation est cuisante. Le deuxième coup arrive au même endroit. Je tressaille. Le troisième coup est donné sur la partie la plus charnue de ma croupe. Le quatrième rencontre le haut de ma fesse. Le cinquième est pour le haut de mes cuisses. Jack et John se relaient. Chacun à leur tour, il m’assène un coup de ceinture. J’arrête de compter les coups. Mais ils continuent de tomber sur ma croupe avec une régularité de métronome. Je ponctue chaque coup d’un petit cri étouffé dans mon bâillon. Mon cul me brûle. Je me tortille sous les coups. Mon équilibre est mis à mal par une tentative d’esquive.
    
    — Fais attention, tu vas tomber... Ne bouge pas !
    
    J’arrête de gigoter. Je ne peux que subir la correction. Je reste donc le plus immobile possible. J’ai honte et pourtant cette honte génère en moi un plaisir pervers. Intérieurement, je me traite de salope et de chienne. J’ai un besoin impérieux d’être fouettée, baisée, humiliée pour atteindre l’orgasme. En tournant la tête d’un côté et de l’autre, je peux voir tour à tour mes tortionnaires. Ils prennent méthodiquement le rythme. C’est la correction la plus humiliante que ...