La Gestionnaire (25) - Histoires de Sexe

La Gestionnaire (25)

Mon Maître adoré,

Je te fais part de chaque aventure organisée par mon Maître par intérim. Voici ce qu’il m’a fait faire vendredi soir.

Dès le matin, il me donne un sac de voyage, en me disant :

— C’est pour ce soir ! Tu recevras mes ordres dans la journée... bon courage !

En me disant cela, il avait un sourire carnassier qui voulait en dire long. Que me réservait-il donc ? Je ne le saurais qu’en cours de journée. Il devait être quinze heures lorsque mon portable sonne. C’est lui. La conversation est courte :

— Dans le sac, il y a une enveloppe. Tout est écrit.

Il raccroche. Le sac est dans ma voiture sur le parking. Je descends chercher cette fameuse lettre. Assise à mon bureau, je l’ouvre non sans une certaine appréhension. Que vais-je devoir faire ce soir ?

" Chienne,

— Tu te rendras à l’adresse indiquée ci-dessous. Une personne t’attendra. Tu trouveras dans ton sac les vêtements nécessaires à ta soirée. Ensuite tu lui obéiras sans aucune réserve. Une fois ta mission réalisée, tu reviendras au château.

Maître FX"

En bas de la page, une adresse. Je ne sais pas comment m’y rendre. Heureusement, Internet est là. J’imprime le plan. Dix-huit heures arrivent vite. Je me rends dans ma voiture et munie du plan je me dirige vers le lieu de ma "mission". Après une demi-heure de voiture, je me retrouve face à un immeuble crasseux dans une banlieue un peu louche. Une cour avec un portail rouillé ferme l’accès. Une voiture est stationnée dans la ...

... cour. Un homme en descend. Il ouvre le portail qui grince. Il me fait signe d’entrer. Je m’exécute et gare mon véhicule à côté du sien. L’homme ouvre ma porte :

— Bonjour 55 !

Je n’aime pas cette façon de me nommer, mais je n’ai pas le choix.

— Tu es juste à l’heure... Vite, nous n’avons pas de temps à perdre...

Il m’entraîne dans le bâtiment. C’est une ancienne usine désaffectée. C’est sale et ça sent mauvais. Nous montons à l’étage. Un bureau certainement l’ancien bureau du directeur.

— Change-toi ici !

J’ouvre mon sac. Je découvre une petite mini-robe noire moulante très décolletée. Je ne m’attendais pas à trouver un pantalon. Les hommes sont toujours les mêmes. Il n’y a pas de soutien-gorge. Mais je ne pense pas en avoir besoin. Je me déshabille. L’homme est là appuyé au mur. Il me regarde. Il me jauge. Je pose ma veste et ma jupe sur la vieille chaise, seul mobilier restant dans cette pièce. J’enfile la robe. Elle a un décolleté en V très profond, si profond que les pointes de mes seins ne vont manquer de sortir à l’air libre au moindre mouvement. La mini-robe est très courte. Elle laisse bien voir la bande de dentelle de mes bas. Dans le sac, je trouve encore des bas résille et un porte-jarretelles. Je m’harnache. Les hommes sont très sensibles à ce genre de tenue. Une paire d’escarpins vernis noirs à talons aiguilles très hauts termine mes changements vestimentaires. L’homme me parle :

— Je crois qu’il est inutile de porter un string là où tu vas. ...