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La Gestionnaire (25)
Datte: 15/11/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... couilles au cul, je suis votre femelle pour encore quelques minutes, videz-vous bordel ! Ma proposition les enflamme. C’est la ruée. Ils me pilonnent comme des malades. Je suis ballottée d’avant en arrière, perforée trouée. Je pousse une longue plainte aiguë en me cambrant John derrière moi, me prends les seins en main. Il masse sans ménagement la poitrine. Il stoppe son mouvement. Jack me lime toujours suivant un rythme régulier. Je le regarde dans son effort. Sa mâchoire est crispée. Dans un grognement de soulagement ou de plaisir, je ne le saurais jamais, il se vide dans un dernier coup de reins. Il extirpe son sexe recouvert du préservatif. Le réservoir est plein de sa semence pâle. Il titube assommé par son plaisir. Il me jette à la figure un : — Petite salope, grosse putain blonde ! John, sentant son frère quitter mon ventre, me prend par les hanches. Il me tient par la pliure des genoux. Il se lance dans une cavalcade de coups de reins désordonnés. Je suis secouée brutalement. La bourgeoise salope que je suis ouvre la bouche. Je hurle une série de cris perçants. John se cambre. Je suis perchée sur son sexe. Il me plante ses ongles dans la peau de mes hanches. Il se vide avec de longues et puissantes ruades. Une fois son sperme évacué, il me dépose au sol. Il se retire de mon cul. La douleur est revenue. — Tu es une vraie pute, une roulure... Si j’étais ton mec, je te flanquerais une raclée dont tu te souviendrais... espèce de salope ! Je suis ...
... recroquevillée sur le tapis. John a repris des forces. Sa queue est dressée et tape sur son nombril. Il me prend par le bras et me relève. Il me retourne et me plie en deux sur le tabouret. Il présente sa bitte à mon anus endolori. Allongée sur le ventre, je me cramponne aux pieds du tabouret. Je facilite les mouvements de l’homme. Je me cambre, j’écarte au maximum mes jambes. Je me mords les lèvres pour m’éviter de hurler. Il plaque ses deux mains sur mes fesses pour écarter mes deux globes ronds et satinés. Il découvre ma raie intime. Il plie un peu les genoux pour se mettre à hauteur. Il me vise l’anus et d’une seule poussée de ses reins il m’enfile jusqu’à la garde. Les poils de son pubis me caressent les fesses. Il ne peut pas entrer plus dans mon ventre. Je ne peux pas retenir une plainte. Mes mains et mes doigts sont crispés sur les tubes de mon support. Il commence un lent et puissant va-et-vient. J’ai envie d’être prise comme je le dois, comme une chienne. Je veux être forcée, prise sans aucun ménagement. Je tourne la tête et fustige mon violeur : — Baise-moi, montre ce que tu as entre les jambes ! Le regard de Jack vire au noir. Il pose ses grosses mains sur mes épaules et me tire en arrière. Je suis empalée. Les coups de boutoir me malmènent, de plus en plus rapides. Je ponctue d’un cri strident chaque poussée. Jack m’insulte sans cesse. Les coups de reins se précipitent. Jack pousse au maximum son avantage. Mes pieds ne touchent plus le sol. Il se vide en plusieurs ...