La Gestionnaire (25) - Histoires de Sexe

La Gestionnaire (25)

... Enlève-le !

Je le pose avec le reste de mes vêtements. Il les fourre dans le sac sans aucun ménagement. Je fais vraiment pute vêtue ainsi.

— Bien, il faut y aller ! Tu es superbe !

— Merci...

C’est rare un compliment dans le monde de la soumission. Je le suis. Nous descendons l’escalier. Je me dandine comme une professionnelle du sexe pour rester en équilibre sur les échasses qui me servent de chaussures. Nous nous dirigeons vers sa voiture. Il m’ouvre la porte. Je ne peux pas faire autrement que lui faire admirer mon entrejambe. Mais vu qu’il m’a vu déjà dans le plus simple appareil, je m’en moque. Nous retournons en ville. J’ai pris l’habitude de ne plus poser de questions. Je me laisse conduire. Dans la voiture, je tire sur le bas de cette mini-robe. Le haut de ma robe ne tient pas fermé sur ma poitrine. Je tâche de dissimuler mes pointes de seins. Mon guide, sans rien dire mate de côté. Qui est-il ? Un sous-fifre ou bien l’organisateur de la soirée... Nous arrivons dans une gentilhommière. Je n’ose pas descendre. L’homme m’ouvre la porte. Ma descente semble intéresser le placier qui attend les clés de la voiture. Il m’est impossible de sortir avec les jambes serrées. Je lui montre mon intimité en me relevant.

Le jeune homme me regarde. Mon guide est hilare en constatant ma gêne et celle du jeune homme. Je tire encore sur le bas de cette mini pour essayer en vain de cacher la bande de dentelle en haut des bas résille. Je fais vraiment trop pute ! Je marche ...

... les jambes serrées. Les hauts talons aiguilles me cambrent les reins. Mon guide me suit à quelques pas. Je suppose qu’il me mate mieux de derrière. Ma robe remonte plus haut à chaque pas. Je vais me retrouver les fesses à l’air au milieu de la cour gravillonnée. Je tire sur le bas de ma robe tous les cinq pas. Mes seins bougent au rythme de mes pas sous le tissu. Le portier me voit venir. Il me déshabille du regard. Leurs yeux fouillent sous le tissu à la recherche de ma poitrine offerte. Ils posent leurs regards libidineux sur mes seins. Leurs yeux suivent le mouvement de ma poitrine qui ballote d’un côté à l’autre de mes pas. La situation est grotesque, mais elle est particulièrement excitante. Savoir que tous les hommes qui me voient n’ont qu’une envie, celle de me sauter dessus dans les plus brefs délais, me transforme en la dernière des salopes.

Mon sexe est ruisselant. En entrant dans le restaurant, les yeux du portier plongent dans mon décolleté. Il est rouge comme une pivoine. Le maître d’hôtel nous conduit à travers le bar. Le silence est immédiat. Toutes les paires d’yeux convergent vers mon anatomie dévoilée. J’ai un peu honte, mais c’est tellement bon. Le maître d’hôtel nous dirige vers la deuxième partie de la salle. Elle surplombe la première partie d’un bon mètre cinquante. Je monte cet escalier devant tout le monde. Tous peuvent admirer mes fesses nues. Heureusement je leur tourne le dos. Je suis morte de honte. Ma chatte s’humecte et mes lèvres deviennent ...