Le club J (6) - Histoires de Sexe

Le club J (6)

... cuisse de David.

— On se masturbe ensemble ? Toi et moi, côte à côte... Ça fait longtemps qu’on a pas eu un moment sympa, entre mères et fils.

D’une main hésitante, le jeune homme saisit son chibre très sensible. Pendant ce temps, sa mère caressait distraitement le bas de son propre ventre, de plus en plus bas.

— Tu vois quelqu’un en ce moment ? Pour coucher, je veux dire, demanda Jeanne.

David secoua la tête.

— A qui on va penser alors en se touchant ? demanda-t-elle juste avant qu’une révélation la frappe soudain. Carla ! La grande voisine rousse avec ses seins énormes et son cul incroyable, tu vois Carla ?

David acquiesça de façon un peu trop véhémente. Le cul de Carla commençait à lui manquer et il lui tardait vraiment que son mari reparte en voyage d’affaires et laisse le champ libre.

Il commença à frotter lentement son membre. Sa mère le nota et sa main atteint son mont de Vénus.

— C’est un sacré joli lot, hein ? Et une vraie cochonne, tu peux me croire. Et puis, ajouta-t-elle d’un ton de comploteuse, elle préfère dans le cul...

Le rythme des va-et-vient de David s’était sensiblement accéléré. Il pouvait témoigner du penchant de la voisine pour la bougrerie. Sa mère sembla lire dans ses pensées :

— Tu as couché avec elle, c’est ça ? Tu l’as enculée, j’en suis sûr ! Regardez-le faire, le modeste ! Elle a dû passer un sacré bon moment.

Un peu gêné, mais flatté, David sourit. La mère et le fils intensifièrent leurs stimulations d’unisson. ...

... La main de Jeanne frottait son clitoris en petits cercles serrés et rapides. Celle de David pompait rapidement sa queue sur toute la longueur. Sortant un peu de sa réserve, le jeune homme osa demander à sa mère :

— Toi aussi, tu l’as baisée ?

— Oui, pas plus tard que la semaine dernière, je prenais le thé avec les femmes du Club Jocaste. Sa chatte est un vrai délice. Dis, mon chou, ça t’ennuierait si je pense à Carla en train de prendre son pied avec ta bite dans le cul pendant que je me touche ?

Elle n’attendit pas l’accord de son fils pour plonger deux doigts dans sa chatte et pétrir son sein en même temps. Il n’osa pas protester contre les pensées de sa mère dans la mesure où l’image de leur objet commun de désir s’était déjà imposée à son esprit, mais dans son fantasme, c’était sa mère qui lui faisait minette à quatre pattes. Les deux onanistes s’étaient rapprochés, David sentait les cheveux de sa mère sur sa joue, sa tête sur son épaule et sa cuisse douce contre la sienne. Elle ondulait du bassin tout en se doigtant rapidement et en se caressant les seins. Ses profonds soupirs alternaient avec de petits gémissements aigus incroyablement excitants. David avait posé sa main libre sur sa cuisse et se branlait au même rythme que sa mère. Leur maîtresse commune leur servait d’intermédiaire pour des fantasmes de moins en moins implicitement tabous.

— Ah Carla, gémit Jeanne, articulant difficilement sous l’effet du plaisir. Un de ces jours, quand son sinistre mari ...