Le club J (6) - Histoires de Sexe

Le club J (6)

... n’est pas là, il faudra vraiment qu’on s’invite chez elle et qu’on la saute ensemble.

Cette provocation fit sursauter David qui ralentit immédiatement les mouvements de sa main. Mais il ne pouvait arrêter la force indomptable qui le saisissait. Sa mère aussi était agitée de soubresauts et de frissons alors que ses gémissements, devenus de petits couinements, s’ajoutaient au bruit mouillé de ses doigts dans son sexe. L’orgasme de la femme s’était déjà prolongé une longue minute quand son fils jouit à son tour et éjacula malencontreusement vers elle. Il se confondit en excuses, mais ne put empêcher un autre jet de sperme sur sa mère dont les gémissements étaient entrecoupés de cris aigus de surprise à chaque fois qu’elle était atteinte. Ils furent bientôt tous les deux allongés l’un à côté de l’autre, essoufflés, calmes et couverts de sueur.

— Mais quel affreux petit cochon ! s’exclama Jeanne en riant.

— Pardon Maman, répondit David, honteux.

Elle se leva et il remarqua les longues zébrures de semence sur le buste de sa mère, et il en fut plus fier et excité que désolé lui jetant un regard, par-dessus son épaule, accompagné d’un clin d’œil; elle quitta la chambre et marqua une pause sur le seuil pour le laisser admirer son cul superbe. Le bruit de l’eau dans la douche résonna peu après. Dans un état de satisfaction absolue, David sombra si vite dans le sommeil qu’il n’entendit pas sa mère revenir près de lui et s’endormir à son tour.

A son réveil, le jeune homme ...

... se sentait beaucoup plus frais et reposé qu’à l’accoutumée. Sa mère avait quitté la chambre en ne laissant derrière elle que son parfum ténu, ainsi que les draps froissés et trempés de leurs fluides. Il se doucha rapidement et enfila des vêtements légers, la température étant déjà élevée malgré l’heure matinale. Il descendit les marches vers la cuisine où sa mère s’affairait. Ses narines furent charmées par l’odeur de crêpes qui en émanait.

Jeanne lui tournait le dos et finissait sa tâche. Elle le salua sans se retourner. David lui rendit son salut et s’assit à la table sur laquelle était déjà posé un assortiment complet de confitures, de gelées, de pâtes à tartiner...Il salivait d’avance, les crêpes de Jeanne étaient un délice parfait après la nuit d’émoi qu’il venait de passer. Il leva les yeux vers elle; elle portait une robe de chambre japonaise, décorée de fleurs au tissu très léger. Il ne voyait pas bien sa silhouette au travers du vêtement, mais il remarqua qu’elle portait encore des chaussures à talons hauts et que son derrière rebondi apparaissait de manière très plaisante. Il s’absorba dans la contemplation de la croupe maternelle alors qu’elle versait une tasse de café au délicieux parfum. Elle se retourna et son fils en resta estomaqué.

Excepté la robe de chambre colorée et les chaussures sculptrices de popotin, elle ne portait strictement rien. Ses bras écartés en une posture révélatrice, elle tenait d’une main une assiette garnie d’une pile pantagruélique ...