Le club J (6) - Histoires de Sexe

Le club J (6)

... une bouteille de lotion.

Maladroite, elle pressa trop fort la bouteille et un jet de liquide laiteux éclaboussa son décolleté. Des réminiscences de la poitrine de Carla souillée de son sperme apparurent dans l’esprit de son fils et le sang afflua de nouveau dans son membre caché sous l’eau. Jeanne poussa une petite exclamation de surprise suivie d’un petit rire. Elle commença à frotter la peau de son décolleté, un peu trop lentement. Puis, comme si elle était seule dans la pièce, elle écarta les pans de son peignoir et découvrit ses épaules qu’elle frotta aussi. Dans le miroir, David pouvait voir ses seins bien fermes sur lesquels dégoulinait le lait de corps. Médusé, il fixait les orbes de chair à la peau superbe, que les mains faisaient délicatement rouler et massaient pour les imprégner de lotion. Il se figea quand son regard croisa celui de sa mère qui lui souriait toujours.

— Tu aimes la vue ? dit-elle d’un ton narquois.

Éberlué, il tenta de répondre, mais les mots refusèrent de sortir. Flattée de l’effet de son corps sur son fils, Jeanne ouvrit encore son peignoir et enduisit son ventre mince et ferme. Elle tourna la tête vers l’arrière, regardant David par-dessus son épaule, et fit lentement glisser le haut de son peignoir le long de son dos. Le jeune homme retint son souffle quand apparurent les salières de Vénus. Le cul qui se dévoilait lentement au-dessus du peignoir comme un double astre charnu au-dessus de l’horizon était une pure merveille. David ...

... remarqua confusément que sa mère portait une paire de sandales à talons hauts très incongrues dans une salle de bain, mais qui accentuaient merveilleusement le galbe. Il nota également qu’il était scandaleux qu’il n’eût encore jamais remarqué comme le derrière de sa mère était beau.

Celle-ci se délectait manifestement du regard ensorcelé de son fils sur sa croupe. Lui adressant un sourire débordant d’amour, elle laissa tomber le peignoir au sol. Ses très belles jambes nues étaient presque insignifiantes sous son cul si merveilleux. Les yeux de David jaillirent presque de leurs orbites quand il vit Jeanne se pencher en avant; très cambrée. Il eut envie de critiquer cette posture peu conseillée, mais il se ravisa vite quand il la vit projeter un jet gluant et laiteux de lotion sur ses fesses. Ses mains pétrirent langoureusement le cul luisant et étalèrent le produit de beauté. Elle écarta les jambes et se cambra encore un peu plus pour frotter ses cuisses.

David piqua un fard monumental. La nouvelle posture scabreuse de sa mère lui donnait une vue imprenable sur sa chatte dont le maillot avait été soigneusement entretenu dernièrement. L’abricot maternel appelait presque le fils à se ruer en lui. Au-dessus de l’origine du monde, la boutonnière étroite de son petit trou du cul était tout aussi excitante pour David, surtout depuis qu’il avait exploré l’étroit fondement de sa voisine. Il n’essayait plus du tout de repousser de son esprit, les images de sa mère empalée sur son ...