1. Le club J (6)


    Datte: 10/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: ALemurier, Source: Xstory

    ... laissé leur marque sur son corps, mais étrangement, les quelques plis sur la peau de ses mains et de son cou, les discrets capitons sur ses cuisses et la très légère flaccidité de son ventre la rendaient encore plus désirable qu’une femme plus jeune à la beauté lisse, mais froide. Elle abaissa la fermeture éclair de sa jupe et la fit glisser sur ses jambes. Elle rit.
    
    — Tu aimes reluquer ta mère ?
    
    Mortifié, David remarqua que l’astre nocturne qui éclairait le corps séduisant de Jeanne rendait aussi discernables son visage et son regard. Il tourna la tête.
    
    — Oh non, ne boude pas. J’aime quand on me regarde. Tu me trouves belle ?
    
    — Oui, balbutia David.
    
    — Alors, regarde-moi.
    
    Il s’exécuta. Jeanne n’avait plus sur elle qu’un ensemble de lingerie en dentelle sombre, trop élégant pour une sortie au cinéma seule. Ravie d’avoir un spectateur, elle porta les mains dans son dos. Quelques secondes plus tard, ses seins s’affaissèrent légèrement comme les agrafes s’ouvraient et, en un geste gracieux, elle laissa tomber les bonnets de dentelle au sol, avant de redresser fièrement le buste. Ses seins n’étaient pas des monuments comme ceux de Carla, mais leur forme, leur galbe, leur fermeté semblaient parfaits. David bougea même imperceptiblement une main pour les caresser avant de se raviser.
    
    — Tu crois que je devrais enlever ma culotte ? demanda Jeanne de but en blanc.
    
    Eberlué, son fils se contenta de s’empourprer en guise de réponse. Elle l’ignora et fit vite ...
    ... tomber son dernier vêtement sur le tapis, puis elle se coucha sur le matelas en soupirant.
    
    Un ange passa.
    
    — Tu sais ce que je fais quand il fait chaud et que j’arrive pas à dormir ? demanda-t-elle finalement.
    
    David haussa les épaules et Jeanne roula vers lui jusqu’à être allongée contre lui, une main sur son torse. Il sentait la peau soyeuse de son ventre sur le sien, ses seins souples qui pressaient sur sa poitrine.
    
    — Je me masturbe, répondit-elle d’un ton de conspiratrice.
    
    — Tu... quoi ?
    
    — Pas toi ? Bien sûr que si, tu le fais aussi. Et on dirait bien que tu en as besoin tout de suite.
    
    David baissa les yeux et vit à sa grande horreur son caleçon, le seul vêtement qu’il portait, changé en grand barnum de la perversion.
    
    — Pardon Maman, dit-il, penaud.
    
    — Pardon de quoi ? C’est naturel. Et puis, franchement, ajouta-t-elle en riant, avec ce corps de rêve, tu m’aurais vexée si tu étais resté au repos.
    
    Cette attitude très présomptueuse n’avait rien d’habituel chez sa mère, mais David trouvait cette facette inconnue de sa personnalité très séduisante. Poussant encore un peu plus loin l’indécence, elle glissa un doigt sous l’élastique du caleçon et souleva le tissu. Le membre turgescent bondit hors de sa cachette. Elle poussa une exclamation admirative, suivie d’un petit rire.
    
    — C’est tellement tendu, ça doit faire mal. Je suis sérieuse, il faut vraiment que tu te soulages.
    
    Elle roula sur le dos et écarta les jambes, son genou venant s’appuyer sur la ...
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