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Le club J (6)
Datte: 10/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: ALemurier, Source: Xstory
... celui de la bite de son fils et en profitait pour donner, à chaque mouvement de pompe, une petite caresse d’encouragement du bout des doigts sur les couilles gonflées. David avait le sentiment de n’avoir jamais enfilé une chatte aussi accueillante, aussi chaude, douce et serrée. Peut-être était-ce son expérience modeste qui faisait d’une partenaire plutôt talentueuse le coup du siècle. Peut-être Jeanne avait-elle véritablement des aptitudes érotiques exceptionnelles. Peut-être l’interdit absolu qu’ils transgressaient décuplait-il le plaisir échangé. Le jeune homme n’avait que la certitude qu’il prenait son pied encore plus intensément qu’avec Carla, dont l’incroyable libido faisait déjà passer ses précédentes relations pour de petits jeux bien chastes. Malgré ses précautions, il pénétrait à présent à un rythme effréné, grimaçant sous l’effort. Il tendit une main et caressa le cou et le visage de sa mère qui tourna la tête et prit dans sa bouche le majeur qu’elle suça goulûment. Elle frottait son petit bouton comme une forcenée, sentant que son fils allait bientôt jouir en elle. Tous deux avaient les jambes tremblant comme des feuilles à cause de ...
... l’orgasme qui montait et de l’intense effort physique. David sentait le vagin se resserrer sur sa queue. Il commençait à connaître les orgasmes de sa mère et il se savait dans la dernière ligne droite. Les délicieux frissons d’extase arrivèrent, et il abandonna tout contrôle sur son corps qui rua de manière désordonnée dans sa mère qui retint son souffle quelques secondes et s’empourpra avant d’accompagner son fils dans la petite mort. La sensation de son foutre jaillissant dans les entrailles de Jeanne donnait de délectables vertiges au jeune homme alors que les trémolos orgasmiques sortant de la gorge maternelle réjouissaient son ego de mâle. — Oh ! oui, Maman, jouis sur ma queue ! A ces mots, Jeanne se convulsa de plaisir. Au bout de quelques secondes, ils ne purent plus tenir et s’écroulèrent dans la cabine de douche; elle, à genoux et roulée en boule au sol; lui, le corps enroulé au-dessus d’elle, autour d’elle et encore en elle. Ils restèrent là longuement à reprendre leur souffle. Quand ils furent enfin apaisés, ils restèrent blottis l’un contre l’autre et s’embrassèrent tendrement et longuement, leurs corps épuisés ruisselants d’eau.