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Les saisons d'une vie (1)
Datte: 06/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... placé devant mon visage va d’avant en arrière d’abord très doucement, puis il adopte un rythme de croisière et ma bouche laisse s’infiltrer très profondément cette queue, que je n’ai d’autres choix que de laisser se balader dans mon bec. Les paluches étrangères sont venues tenir les miennes qui sont statiques sur mon crâne. Et c’est profondément enfoncé dans mon gosier que la trique stoppe tout mouvement. Elle reste ainsi longtemps, m’empêchant pratiquement de respirer. Un hoquet me remonte du sternum et mon bonhomme se sent dans l’obligation de quitter les lieux pour que je reprenne une rasade d’air. La bête désormais me lime de plus en plus vite. Les halètements de son propriétaire ne font que renforcer ceux que je laisse échapper de ma gorge, par intermittence. — C’est bien ! On voit que tu aimes ce genre de petites fantaisies. Je peux donc passer aux choses sérieuses ? —… ! J’ai un frémissement qu’il interprète comme de la peur. Alors il se dédouane d’un coup par des mots rassurants. — Ne crains rien ! Je ne veux pas abimer quoi que ce soit. Tu es trop belle pour que ta peau soit détériorée. Je me tais et je sens que mes poignets sont ensemble remontés largement au-dessus de ma caboche cette fois, totalement maintenus par les pognes de l’individu. Quelque chose encercle ceux-ci et le lien qui les maintient fermement raccordé l’un à l’autre fait un tour sur mon cou. Cette fois je ne peux plus bouger les bras. La patte me pousse en appuyant sur ma ...
... poitrine, m’intime un mouvement qui me fait m’allonger. Sur la couche, me voici donc étendue de tout mon long. Les deux bras solides qui écartent mes cuisses n’ont pas d’autre but que celui d’ouvrir le chemin de mon sexe à la bouche qui vient le ventouser. Commence alors une caresse terriblement intime dont jusqu’à cet instant, seul Michel avait pu bénéficier. Je pars dans un délire cérébral provoqué par les images que mon esprit se forge avidement. Il me fait imaginer ce qui se trame au fond de mon ventre. Puis la queue revient aux confins de ma bouche. Quelle souplesse du zig qui s’occupe de ma chatte et se fait sucer ! Se fait sucer ? Comment peut-il aussi me caresser les seins alors que ses mains me maintiennent les cuisses béantes ? D’un coup, une foule de questions me submerge, retenue par contre par mes gémissements qui sont bien plus de plaisir que de douleur. Merde ! Comment peut-il avoir une telle dextérité ? Je pressens que ce n’est pas normal et pourtant je me laisse emporter par un tourbillon vertigineux de sensations divers et varié. La bite qui me prend le bec et la bouche qui me lutinent sont deux alliés qui ne m’autorisent aucune pause. Enfin je sens que mon ventre est investi par une trique bien chaude et je réalise qu’il est impossible que ce type en possède deux. Donc si je comprends bien ce qui se passe, il n’est pas seul dans cette chambre d’hôtel ! Nous sommes au moins trois. Et loin de me faire fuir ou de me donner la trouille, cette pensée me fait… ...